Le nouveau budget fédéral canadien prévoit 36 millions de dollars pour le « Programme de lutte contre les dommages causés par les vaccins ». Le Programme a déjà versé plus de 11 millions de dollars à des victimes de l’injection anti-covid, et le nombre des plaignants s’accroît, notamment pour myocardite.
Le gouvernement canadien continue néanmoins de promouvoir l’injection, présentée comme étant sans danger dans tous les cas : « Il n'y a pas de danger à recevoir un vaccin contre le COVID-19 après une infection par le virus responsable du COVID-19. La vaccination est très importante, même si vous avez été infecté par le virus COVID-19. »
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Une étude japonaise tend à montrer une hausse significative des cas de cancers en raison de l’injection anti-covid.
L'étude a examiné les taux de mortalité selon l'âge pour plusieurs types de cancers entre 2020 et 2022 dans les données du gouvernement japonais : « Aucune surmortalité significative n'a été observée au cours de la première année de la pandémie (2020). Cependant, certains excès de mortalité par cancer ont été observés en 2021 après la vaccination de masse avec la première et la deuxième dose de vaccin, et des excès de mortalité significatifs ont été observés pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer (y compris le cancer de l'ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres/de la bouche/du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein) après la vaccination de masse avec la troisième dose en 2022. »
C’est d’autant plus significatif qu’on constatait une baisse de la mortalité par cancer au long de la décennie précédente.
« Je soupçonne depuis longtemps l'existence d'un lien entre les vaccins et le cancer, sur la base de la science de l'immunologie, a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse au MIT. Je pense que ce qui se passe, d'une manière générale, c'est que le vaccin provoque une altération de la réponse immunitaire innée, ce qui entraîne une susceptibilité accrue à toute infection, une augmentation des maladies auto-immunes et une accélération de la progression du cancer. »
Commentaires
Ils n'hésitent pas à bafouer leur propre mythe vaccinal: "un vaccin est soi-disant fait pour donner une immunité contre une maladie en innoculant des personnes avec un système immunitaire en parfait état de marche (ce qui rend le vaccin parfaitement inutile). Maintenant, ils inoculent les personnes au système immunitaire déjà mal en point par d'autres maladies. Le but est clair, c'est de les tuer.
Stephanie Seneff, chercheuse au MIT ferait mieux d'analyser la composition des différents lots de ces produits nommés "vaccins", elle aurait une réponse à son hypothèse.