Carlos Perciavalle est paraît-il un des visages les plus connus de la télévision uruguayenne. Le 19 février, il s’est « marié » avec son impresario Jimmy Castilhos, et les deux invertis ont annoncé pour le 21 une grande fête (pour plus de 400 personnes) comme étant leur « mariage religieux », « le premier au monde ».
Le diocèse a d’abord fait savoir que ce serait dans une chapelle privée et non dans une église paroissiale. Sic. Comme si ça changeait quelque chose.
Puis l’évêque a demandé à la nonciature ce qu’il devait faire. Sic. La nonciature lui a dit « qu’il fallait donner une bénédiction, puisqu’il y a un document signé par le pape et qu’il faut agir en conséquence ».
Puis on a négocié… La bénédiction aurait lieu dehors et non dans la chapelle.
Et c’est ce qui s’est passé.
Le prêtre Francisco Gordalina a dit : « Puisque vous êtes tous deux des enfants de Dieu et que vous avez demandé une bénédiction à Dieu notre Père, nous sommes heureux d'être présents au nom de l'Église pour lui demander de vous bénir. »
Il a ensuite posé sa main alternativement sur la tête de Carlos Perciavalle et de Jimmy Castillos et a prononcé des paroles de bénédiction.
Après cette "bénédiction", les sodomites ont remercié le prêtre et l'ont serré dans leurs bras.
Et l’évêque est tout content d’avoir montré la « proximité » de l’Eglise. Et les « époux » ont indiqué qu’ils allaient maintenant entamer des démarches administratives pour « louer un utérus de substitution ».
On remarquera que l’opération est parfaitement réussie : la chaîne de télévision argentine América TV titre bien sur « le mariage de Carlos Perciavalle », ce qui justifie la mention que c’est « le premier couple homosexuel au monde qui reçoit une bénédiction avec l’autorisation du Vatican ».
Commentaires
Ce pauvre Bergoglio me fait pitié...
Ce "pape" a déjà un pied dans la tombe et je m'attends chaque jour à mon réveil, à entendre la nouvelle de son trépas.
Ce type aura passé son "pontificat" à saper les fondements de l'Église et je ne voudrais pas être dans ses bottes quand il se trouvera en face du Christ...
Satan, lui, trépigne d'impatience de l'accueillir chez lui où il lui a déjà préparé une place bien au chaud.
Je tiens ce qui précède de quelqu'un, dans l'Au-Delà, qui me renseigne à l'occasion.
Dans le dernier cercle de son Enfer, où les damnés sont emprisonnés dans de la glace, Dante a placé Judas, Cassius et Brutus, les pires traîtres selon lui car traîtres à leur bienfaiteur. A cet égard, mettre Cassius et Brutus avec Judas, je trouve cela bien superficiel et léger...
On est dans le neuvième cercle, mais Caïphe n'est que dans le sixième paradoxalement. Moi je l'aurais mis tout au fond. Quant à Bergoglio, si ce n'est pas l'antéchrist, ça y ressemble. Il est certain que faire périr vingt-cinq ou quarante-cinq millions de personnes, comme Staline ou Mao, torturer des millions de gens, briser des millions de familles n'est pas le plus sûr moyen d'aller au Ciel ; mais dans le jugement de Dieu, il doit être tenu compte aussi de l'autorité qu'incarne le destructeur. Je vois dans le refus de Bergoglio d'assumer le titre de Vicaire du Christ la prescience désespérée de l'enfer qu'il se prépare.
Je ne prie jamais pour lui, c'est inutile.
Moi non plus je ne prie pas pour lui.
Comme dit le proverbe, l'arbre tombe du côté où il penche.
Et, de plus, il y aurait grande injustice à ce que Bergoglio soit sauvé alors que lui-même est la cause de la damnation de millions de gens (sans doute plus que les grands massacreurs du XXième siècle) par son enseignement...
Humainement parlant, dans le concours des abominations vomitoires à faire dégueuler les immondes, Macron semble un cran au-dessus, mais il n'est le vicaire que de son mari Jean-Michel et des Rothschild, de sorte qu'il devrait avoir un enfer plus cool.