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La persécution

Suite à la nouvelle perquisition du domicile du métropolite Théodose de Tcherkassy (qui lui a provoqué une crise cardiaque), le SBU a publié un quatrième « avis de suspicion » à l’encontre de l’évêque. Car le SBU a trouvé « de nouvelles preuves de ses crimes ».

La première est la diffusion de fausses informations sur la prise du monastère de la Nativité de la Mère de Dieu à Tcherkassy. Ce qui est faux selon le SBU est qu’il y aurait eu des violences contre les fidèles. Or il y a les vidéos, les photos, et les actes médicaux, qui prouvent qu’il y a eu un tel déchaînement de violence qu'un prêtre a eu la mâchoire cassée et un paroissien de 76 ans une jambe cassée. Et que la police a ouvert cinq affaires pénales.

Le SBU affirme aussi que « des examens sémantico-linguistiques et médico-psychologiques » (sic) « ont confirmé les faits des actions criminelles » : il « a enregistré des messages vidéo destructeurs sur la page Facebook officielle du diocèse » et « a tenté de discréditer des ecclésiastiques d'autres confessions ».

« L'enquête se poursuit. Le suspect risque jusqu'à 8 ans de prison. »

En conséquence, la question d’une mesure plus stricte d’assignation à résidence est « en cours de traitement ».

Pour le moment il est « assigné à résidence » à l’hôpital.

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