La Commission européenne lance une procédure d’infraction contre la Hongrie, à propos de la loi instaurant une autorité de surveillance chargée d’empêcher les « interférences étrangères » dans le processus électoral et de « protéger la souveraineté » du pays.
Il est évidemment insupportable à la dictature bruxelloise qu’un pays ose vouloir empêcher le financement étranger (par Soros et autres) de basses manœuvres électorales, et ose vouloir ainsi défendre sa démocratie, en utilisant en outre le gros mot de « souveraineté », qui est une atteinte au droit souverain de la dictature.