Les répons des matines de ce jour sont les deux premiers répons des matines de l’Epiphanie, ceux qui évoquent ce qui est pour les orientaux le seul mystère de la Théophanie : le baptême du Christ, qui sera spécialement commémoré demain à l’occasion de ce qui était avant 1955 l’octave de la fête.
℟. Hódie in Jordáne baptizáto Dómino apérti sunt cæli, et sicut colúmba super eum Spíritus mansit, et vox Patris intónuit: * Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.
℣. Descéndit Spíritus Sanctus corporáli spécie sicut colúmba in ipsum, et vox de cælo facta est.
℟. Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.
Aujourd’hui, le Seigneur ayant été baptisé dans le Jourdain, les cieux se sont ouverts et, sous la forme d’une colombe, l’Esprit s’est reposé sur lui, et la voix du Père a retenti : Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.
L’Esprit-Saint est descendu sous la forme corporelle d’une colombe et une voix du ciel s’est fait entendre.
Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.
℟. In colúmbæ spécie Spíritus Sanctus visus est, Patérna vox audíta est: * Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.
℣. Cæli apérti sunt super eum, et vox Patris intónuit.
℟. Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.
Sous l’apparence d’une colombe, l’Esprit-Saint est apparu, et la voix du Père a été entendue : Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.
Les cieux se sont ouverts au-dessus de lui, et la voix du Père a retenti.
Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.