Mikhail Podolyak, l’omniprésent conseiller de Zelensky, dans une interview à Voice of America (en… russe) :
« Kiev mourra, mais ne deviendra jamais une ville russe. »
Et cela fait le titre de l'article. (Podolyak dit "Kiev", pas "Kyiv".)
Contexte :
"Bien sûr, ce sera très difficile pour l'Ukraine. Et bien sûr, l'Ukraine continuera à se battre et à défendre son droit à la liberté. Et, bien sûr, nous ne nous agenouillerons pas devant la Fédération de Russie. Mais la question est plus large. La question n'est même pas de savoir si Kiev va devenir quelque chose. Kiev mourra, mais ne deviendra jamais une ville russe. Il s'agit de savoir si, aujourd'hui, les États-Unis et le camp démocratique en tant que tel sont prêts à admettre leur défaite dans la confrontation avec un pays appelé Fédération de Russie. Sommes-nous tous prêts à perdre ensemble face à la Russie ? »
Commentaires
Personne ne veut mourir pour Kiev, coco et surtout pas les couillons des USA ou de l'Europe occidentale. Vos alliés sont en train de vous lacher, après avoir écoulé leur matériel de guerre obsolète. Vous ne servez qu'à faire tuer des Ukrainiens.
Les Ukronazis ne sont pas observateurs : ils n'ont pas vu que l'Otan leur offrait ses rossignols et maintenant ils ne voient pas qu'ils ont per(du la guerre.
C'est bin triste pour eux.
Assez d'acharnerie, La Tienne, fini la rancunerie, abibochons-nous donc ! Tu attèlerais soixante souris glougloutantes en ravies de la crèche, avec ton vocabulaire si drôle, si godant, désopilant, délicieux, à se tordre ! Les rossignols chantent et les Ukronazes s'engluent dans la vase !
Je n'abuse pas de ton temps, mais entre toi et moi ce sera désormais ce que la bretelle est au pantalon ! Mille sabords !
.....Kiev ne deviendra jamais une ville otano-européenne ....Kiev ne mourra pas, mais reviendra à ses origines qu'avaient édulcorées les bolchéviques et leurs successeurs jusqu'au retour récent de la Sainte Russie.