Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Champion du monde de la triche

Un Américain qui se dit femme, "Liz" Kocab, a remporté le championnat du monde d’escrime senior, en battant la Finlandaise qui avait remporté 14 fois cette compétition. "Liz" Kocab avait déjà eu sept victoires dans diverses compétitions contre des femmes.

« Remporter un titre comme homme dans une catégorie féminine ne fait pas de vous un champion, cela vous donne le titre de tricheur », a commenté un ancien champion de natation.

La fédération américaine d’escrime n’a pas l’intention de modifier son règlement, qui insiste lourdement sur son soutien à l’idéologie du genre :

« Dans nos catégories, USA Fencing ne fait pas de discrimination sur la base de l'identité de genre, quel que soit le sexe assigné à la naissance, ou toute autre forme d'expression de genre, pour la participation à une catégorie. De ce fait, les athlètes sont autorisés à participer aux événements homologués par USA Fencing de manière conforme à leur identité/expression de genre, indépendamment du genre associé au sexe qui leur a été assigné à la naissance, conformément aux lignes directrices indiquées. »

Il y a une seule restriction : l’athlète n’a pas le droit de changer de genre au cours de la saison…

Commentaires

  • Puisque tout le monde viole les règles que les adversaires féminines de ce tricheur se pointent avec un javelot, une lance ou un arc et qu'elles visent les couilles.

  • Suggestion pertinente. Merci.

  • Il n'est pas nécessaire, en effet, de se priver de cet organe qui agrémente les soirées d'hiver et surtout celles d'été (ces dames étant souvent frileuses et se chauffer devenant de plus en plus onéreux sous notre bon roi Emmanuel Zéro) ; il suffit de se laisser pousser les cheveux et de se déclarer femme trans à la fédération du sport qu'on souhaite pratiquer avec succès quand on est une grosse tanche dans son genre d'origine. On se marre bien dans les douches, mais faut pas être pédé.
    Cela reste compliqué pour les chauves dans certains sports comme le saut à la perche ou la natation synchronisée. Rien de pire qu'une perruque qui franchit glorieusement les cinq mètres quand vous passez sous la barre et que votre slip s'accroche dans la perche.

  • Encore un dialogue pour Audiard.
    MONSIEUR FERNAND : C’est quand même marrant les évolutions. Quand je l’ai connu le Mexicain, il recrutait pas chez tonton.

    PASCAL : Vous savez ce que c’est non ? L’âge, l’éloignement… A la fin de sa vie, il s’était penché sur le reclassement des légionnaires.

    MONSIEUR FERNAND : Ah ! Si c’était une œuvre, alors là !! Là, c’est autre chose.

  • C'est du bon Audiard, en particulier pour la trouvaille "chez Tonton". Je ne sais pas comment s'appelle ce détournement de sens euphémistique. En principe, chez Tonton, en argot, veut dire qu'on est chez un indicateur ; mais dans le contexte ça voulait dire chez Tata (le Fritz et son mignon).
    Le film (on ne s'en lasse pas) est tiré de la trilogie de Max le Menteur, d'Albert Simonin, qui a ciselé les dialogues justes et précis de la meilleure de ses trois adaptations cinématographiques, le grand film noir à la française et l'un des dix chefs d’œuvre à emporter sur l'île déserte des amoureux du polar : Touchez pas au grisby.
    "C'est curieux, chez les marins, ce besoin de faire des phrases". Ou des bons mots... C'est un peu le problème d'Audiard avec le réalisme au cinéma, "un art dont l'essence est d'être muet" (Philippe Sollers).

  • "C'est jamais bon de laisser le petit personnel rêver!"

  • "Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger."

  • Devinette. Gabin vétérinaire venant chercher du piston chez un homme politique: "Il y a eu la grande peste de l'an mil, tu vas voir la grande merde de l'an deux mille" "1965. C'est dans quel film?

  • @Dauphin
    ça s'rait-y pas, "le tonnerre de Dieu"?

  • Bravo, vous avez gagné le droit de regarder le film à nouveau
    https://www.facebook.com/JournalElMesmar/videos/le-film-le-tonnerre-de-dieu-1965-gabin/604965161149391/
    Pas besoin d'être inscrit sur facedebouc

  • Je suis un film sorti en 1960. Mon réalisateur, né en Angleterre la même année que le cinéma, se prénomme Alfred et se nomme H.. L'actrice principale (Janet Leigh) est assassinée sous la douche au bout de vingt-cinq minutes. Le film est en noir et blanc, tourné avec des caméras de télévision. Alfred H. avait lancé, peu avant, la célèbre série Alfred H. présente et, à un type venu l'interroger dans son bureau d'Hollywood, il avait expliqué comment marchait la télévision depuis le studio jusqu'au balayage entrelacé du poste de l'Américain moyen.
    Le rôle de Norman Bates a beaucoup perturbé mon acteur principal (Anthony P.) qui a tourné plusieurs suites rarement heureuses.
    Bonus : Hitchcock a détesté tourner avec John Gavin et réciproquement. Le réalisateur a beaucoup raillé l'acteur parce que dans la scène d'ouverture, où John Gavin est sur un lit avec Janet Leigh en slip et soutien-gorge, tous les techniciens avaient remarqué son énorme érection (pas celle de Janet, celle de John).
    Quel film suis-je ?

  • Les Enfants du Paradis ?
    Signé : Sœur de la Visitation

  • non mais j'zn ai marre de ces bonnes femmes qui viennent écrire n'importe quoi sur moh blog préféré foutezmoi la paix !
    - Allons, Msieur Théo, un pipi et au lit !

  • Qui était donc cette dame (sous la douche) ?

  • Dans le plan final de la bande annonce d'origine, Hitchcock a mis Vera Miles sous la douche, pour égarer le spectateur. Que voulez-vous savoir de plus ? Elle joue la sœur de l'héroïne dans le film. Elle aurait dû interpréter le double rôle féminin de Vertigo. Hitchcock lui en a voulu de préférer se marier et faire des enfants alors qu'elle avait un contrat avec lui et qu'il voulait en faire la nouvelle Grace Kelly.
    J'ai jamais accroché sur Janet Leigh non plus. Encore moins sur Tippi Hedren. Après North by Northwest, Hitchcock baisse sensiblement. Il passe des superstars sexys aux acteurs de second ordre. Dans ses deux derniers films (Frenzy et Family Plot), il retrouve sa jeunesse et son génie.
    Sur Frenzy, Polanski, qui tournait dans le coin (environs de Londres), voulait le rencontrer. Polanski a fait plusieurs films dans le style Hitchcock (en particulier Répulsion et Frantic), mais Hitchcock a dit non. Vers 1983, Polanski, invité chez Pivot avec un Truffaut déjà mourant, a sorti qu'Hitchcock (dont Truffaut disait qu'il n'avait jamais couché qu'avec sa femme) était un "pauvre homme". Pivot lui a rétorqué : "Mais c'était un génie", et Polanski a répondu : "Van Gogh aussi était un génie".
    Entre les génies qui ne couchent avec personne, ceux qui se contentent de leur femme et ceux qui sodomisent les petites filles, ce n'est pas le même monde...

  • Ce n'est pas de la triche puisque c'est autorisé. Qui se plaint de quoi ?
    - La fédération sportive ?
    Non, elle encourage et défend ça.
    - Les femmes ?
    Elles ont voulut l'égalité non ? Alors maintenant qu'elle prouvent leur bonne humeur en battant un "trans".
    - L'Eglise ou les autorités religieuses ?
    Rien, nada, déjà assez à faire avec les migrants.
    - Les autorités civiles ?
    Pas de problème avec ça.
    - Yves Daoudal ? (nom générique pour désigner les... raidis)
    Oui, Yves Daoudal se plaint, mais de quoi et pourquoi puisque ça ne pose de problème à personne... ?

  • L'avortement aussi est autorisé, Davidoff s'en plaint-il? Probablement pas car il n'est pas raidi, il est congelé.

  • Davidoff c'est celui qui fume le gros cigare ! Ah! ha! ha!

  • J'aime bien votre intevention au 2nd degré, Davidoff ;-)

  • Bien que la réponse de Davidoff soit au second degré, on peut lui répondre au premier degré : même en supposant qu'une sportive qui s'investit avec volonté dans son sport ait la possibilité de s'opposer efficacement à la pression sociale, médiatique et politique qui l'oblige à concourir contre des hommes, la vertu de justice s'applique premièrement à Dieu, en second lieu à soi-même, et le prochain ("puisque ça ne dérange personne") ne vient qu'en troisième position.
    Le sport est un domaine du vrai, et de la justice.

  • D'ailleurs le sport est une expression atténuée de la guerre et du monde dans lequel nous vivons. Sans transcendance, c'est le carnage.

Les commentaires sont fermés.