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Finalement ce n’était pas Poutine

Grand émoi hier dans le monde politico-médiatique : l’héroïque journaliste Marina Ovsiannikova qui à la télévision russe avait brandi une pancarte contre la guerre en Ukraine a été empoisonnée par Poutine. En plein Paris où elle s’est réfugiée.

Hier, le parquet faisait savoir en effet qu’il ouvrait une enquête pour « suspicion d’empoisonnement », parce que Marina Ovsiannikova avait été hospitalisée après avoir fait un malaise, ce qui laissait « craindre un empoisonnement », selon les habitudes du Kremlin. D’ailleurs l’AFP avait précisé qu’en entrant chez elle la journaliste avait « découvert de la poudre ».

Aujourd’hui on apprend que les analyses n’ont révélé aucun poison, et Marina Ovsiannikova a démenti avoir trouvé une poudre suspecte chez elle.

Commentaires

  • L'(im)monde politico-médiatique nous jette de la poudre aux yeux.

  • "Finalement ce n’était pas Poutine"
    C'était donc son frère...

  • Si elle a découvert de la poudre de perlimpinpin, alors on connaît tous le vrai coupable.

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