Interrogé par la télévision, Yaroslav Gunka, le célèbre ancien SS ovationné par le Parlement canadien, se plaint d’avoir « fait face à une telle haine qu'il est difficile pour vous de l'imaginer ».
Et d’ajouter :
« Tout ce que je voulais, c'était quitter ce monde tranquillement avec ma famille, mais maintenant je vais être obligé d'aller voir mes amis en Amérique du Sud. »
Sic.
Commentaires
Le pauvre petit, mais le climat sudaméricain est plus clément que le canadien. Il se remettra vite....Il peut aussi songer à l'Ukraine.
Il y retrouverait de nombreux sympathisants exilés comme lui en Argentine (où fut enlevé Aldof Eichmann par le Mossad en 1960 pour être jugé et pendu en 1962) ou la Bolivie (Klaus Barbie alias Altmann en fut extradé vers la France en 1983 pour y être jugé) ou la Bolivie,
l'Uruguay et le Paraguay, le Brésil (Josef Mengele qui se noya en février 1979 ; son alter ego japonais de "l'équipe médicale" d'Ishii Shirô de l'Unité 731 en Mandchourie, ne fut, lui, jamais inquiété ni par les japs ni par les boys)....il aurait le choix de pays latino-américains !
Comme Trudeau a de fortes accointances avec les anciens ukro-nazis, il est quasi sûr qu'il coulera paisiblement ses dernières années au Canada.
OSS 117 n'était donc pas une parodie, mais un film d'anticipation. "Les nazis n'ont-ils pas un coeur?"
Je comprends. Il aurait fallu une loi anti-haine.
Ah, je me souviens maintenant, c'est lui qui a fondé les amitiés juives de la SS et le groupe nazisme et dialogue comme courant du parti socialiste.
Ils ont raison, de telles compétences ne peuvent se perdre sous prétexte d'un passé compliqué.
Après tout, la réinsertion est le but de la pensée progressiste et le sionisme a toujours su utiliser les talents cachés d'anciens criminels.
En plus, c'est écolo le recyclage de déchets et si du même coup on peut aider à l'inclusion des anciens.
Le recyclage des déchets est une belle métaphore, qui ne s'applique pas essentiellement à un vieux nazi, mais aux plus hauts prélats, aux oligarques, aux politiciens, aux journalistes de la télévision et à l'écrasante majorité des personnes qui disposent d'un grand pouvoir dans nos sociétés mercantiles et néo-païennes.
L'autorité est corruptrice et n'a jamais été associée à la vertu que par miracle, et en tout cas par un effort de tous les instants dans le recrutement de ses détenteurs, leur formation et leur contrôle. Dans un monde corrompu, la nature tend à favoriser le règne des plus pourris : au royaume des borgnes, les aveugles sont rois.