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Chronique des tarés

Communiqué de l’ONU :

Le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Volker Türk, s'est félicité de l'arrêt rendu mercredi par la plus haute juridiction mexicaine, qui a déclaré inconstitutionnelles les sanctions pénales pour l'avortement. Il a appelé à une action immédiate pour mettre en œuvre la décision.

"Ce jugement, qui confirme des décisions antérieures de la Cour suprême, représente une victoire majeure pour les femmes mexicaines dans leur lutte de plusieurs décennies pour leur autonomie corporelle et leur santé et droits sexuels et reproductifs", a déclaré M. Türk. "Elle témoigne également de l'importance d'avoir un système judiciaire indépendant engagé dans la défense des droits de l'homme.

"J'appelle le Congrès mexicain à prendre des mesures immédiates pour promulguer la législation nécessaire à l'expulsion de l'avortement du code pénal fédéral, et les assemblées législatives des États où l'avortement reste criminalisé à faire de même sans tarder", a-t-il ajouté.

Le Haut Commissaire a également appelé les États du monde entier qui criminalisent encore l'avortement à suivre l'exemple du Mexique et à réformer leurs lois pour garantir un accès sûr et légal à l'avortement, conformément aux obligations qui leur incombent en vertu du droit international des droits de l'homme.

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Au fait : 80% des Mexicains se disent catholiques.

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L’an dernier, cette « femme transgenre », "Kayla" Lemieux, avait défrayé la chronique dans l’Ontario. « Elle » était professeur dans une école secondaire, et des parents s’étaient émus de l’apparence de cette personne, allant jusqu’à oser dire que ce n’était pas un spectacle approprié pour leurs enfants. Ils s’étaient fait vertement remettre à leur place, car toute critique de l’apparence de Kayla Lemieux était de la discrimination. Avec cette belle leçon de morale :

« Nous nous efforçons de promouvoir un environnement d’apprentissage positif dans les écoles conforme aux valeurs du HDSB [Halton District School Board] et d’assurer un environnement sûr et inclusif pour tous les élèves, le personnel et la communauté, indépendamment de la race, de l’âge, de la capacité, du sexe, de l’identité de genre, de l’expression de genre, de l’orientation sexuelle, de l’origine ethnique, de la religion, de l’observance culturelle, des circonstances socioéconomiques ou du type ou de la taille du corps. »

Kayla Lemieux clamait qu’elle était née « intersexuée » et qu’elle souffrait de gigantomastie.

Mais ses voisins firent circuler des photos où « Kayla » était clairement un homme, et que c’est cet homme qu’ils voyaient quotidiennement.

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Bien qu’« elle » ait véhémentement nié que ce soit « elle » sur ces photos, l’école a d’abord accepté d’élaborer une politique exigeant que les enseignants maintiennent une apparence « appropriée et professionnelle ». Comme Kayla Lemieux niait s’habiller de façon inappropriée, l’école a fini par la mettre en congé.

Et voici la rentrée. Et Kayla Lemieux est devenue Kerry Lemieux, l’homme qu’elle n’a jamais cessé d’être…

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Le parlement de Californie a voté une résolution faisant du mois d’août le « Mois de l’histoire des transgenres ». C’est une première mondiale.

Cette initiative vise à « créer une culture basée sur la recherche, l’éducation et la reconnaissance universitaire des contributions des Californiens transgenres ».

La résolution qualifie l’État d'« épicentre historique du mouvement de libération trans ». C’est en août 1966 que des mauvais traitements contre des travestis à la cafétéria Compton’s avait donné lieu aux premières émeutes du genre… Et le quartier de cette cafétéria a été désigné comme le « premier quartier culturel transgenre du monde ».

Commentaires

  • Je me suis demandé si ce monsieur déguisé en femme était réellement dérangé ou s'il n'avait pas joué à fond le jeu des "wokes" pour les ridiculiser.
    De toute façon, une telle poitrine surproéminente devait poser des problèmes de colonne vertébrale et de bassin en plus de déranger tous ses mouvements, sachant qu'il était professeur de travaux manuels dans une école.
    Va-t-il maintenant être poursuivi pour manque de vénération envers l'idéologie "woke", ou pour être redevenu un homme qu'il n'a jamais cessé d'être?

  • Difficile de savoir où l'on en est dans cet asile à ciel ouvert que sont devenues nos sociétés "démocratiques", mais j'ai pensé comme vous que ce monsieur était peut-être un farceur.

  • C'est raisonnable de penser qu'un homme qui fantasme d'être une femme ne va pas s'affubler de prothèses si énormes pour espérer être crédible.
    Ne serait-ce que pour espérer attirer un regard de désir des mâles ou de jalousie des femelles.
    Là, tous ceux qui le croisaient devaient le regarder comme une bête difforme avec de la pitié. Ou il est vraiment dérangé au point de ne pas s'en rendre compte, ou bien il mijotait son effet en en rajoutant avant la chute finale. Mais si c'est le cas, il va avoir des problèmes judiciaires car le fanatisme "woke" n'a aucun sens de l'humour. Ils vont bien lui trouver un grand père antisémite ou une sale histoire de pédophilie pour le charger sans nommer la véritable accusation.
    En tout cas, les prochains candidats à Miss Monstre y réfléchiront à deux fois avant de s'exposer aux rires et aux moqueries.

  • Sur la troisième image, le type a l'air d'un joueur de football américain. On se dit que ce serait rigolo si Matthieu Jalibert et Arthur Vincent se pointaient en finale de la coupe du monde de rugby, l'un en queue de pie et l'autre avec un soutien-gorge, une robe de mariée et une plume dans le cul, surtout avec un écriteau : "Jean-Michel, I love you !"
    On peut toujours rêver...

  • Tous ces koufar, y mfont beugère.

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