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Le cirque Zelensky

Zelensky était hier aux Pays-Bas et au Danemark. Dans les deux pays on lui a promis des chasseurs F-16. Il a claironné que les Hollandais allaient lui donner 42 avions. Le gouvernement a dû préciser que 42 est le nombre de F-16 qu’ils ont et qu’ils n’allaient quand même pas tous les envoyer à la casse en Ukraine…

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On ne peut qu’être étonné, en France en tout cas, de voir ce titre : « Le cirque Zelensky ». Ce n’est pas chez nous qu’on verrait pareil affront à l’héroïque défenseur planétaire de la liberté et de la démocratie. Il semble qu’au Danemark il y ait encore une certaine liberté d’expression. Car ce titre n’est pas celui d’une obscure feuille anarchiste ou pro-russe, c’est celui du très populaire tabloïd Ekstra Bladet. On trouvera ci-dessous une traduction automatique de l’article, qui dénonce la mise en scène du « cirque Zelensky » où les journalistes étaient soigneusement tenus à l’écart, et n’eurent ensuite pas le droit à la parole dans ce qui était censé être une conférence de presse…

Le Cirque Zelensky

Le président ukrainien a reçu 19 avions et la plupart des journalistes ont eu le nez long après une longue journée à Skrydstrup.

Aucun risque n'a été pris lorsque le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est arrêté à la base aérienne de Skrydstrup dimanche après-midi.

Non seulement la visite s'est déroulée sur la base aérienne lourdement gardée, mais la presse a également été transportée dans un hangar fermé, avec interdiction de prendre des photos par les fenêtres et une escorte en uniforme jusqu'aux toilettes.

Des gardes armés étaient postés le long des routes de la base, et des policiers militaires, des soldats, des policiers et des chiens renifleurs de bombes étaient constamment en train de renifler les pelouses et les portières des voitures.

La conférence de presse elle-même s'est déroulée selon la vieille formule de Mette Frederiksen : un contrôle à 100 %.

Même lors de cette conférence de presse historique, au cours de laquelle le Danemark donne ses avions de combat pour qu'ils puissent bombarder les positions russes en Ukraine, le Premier ministre et les hauts fonctionnaires ont tenu les questions curieuses à distance.

Seules TV 2 et DR ont été autorisées à poser quelques questions chacune. Les autres journalistes ont été réduits à faire de la figuration sur leurs chaises dans ce qui était censé ressembler à une conférence de presse.

Malgré la présence de nombreux conseillers de presse rayonnants de plusieurs ministères, la conférence de presse annoncée a été, jusqu'au bout, entourée de secret et de brouillard dans sa forme la plus distillée.

Ils n'ont pas voulu dire qui venait. Et ils en ont profité. Au maximum.

Même les employés chargés d'installer le pupitre pour la conférence de presse n'en savaient rien. Ils se sont donc mis à déballer le pupitre avec le panneau "Président" à la dernière minute.

Les organisateurs de la conférence de presse ont manifestement vu "Top Gun". Toutes les voiles militaires étaient déployées.

Deux F-16 - dont l'un est même peint en Dannebrog - sont installés derrière les pupitres de Zelenskyj et Frederiksen. Des avions de chasse ont survolé le hangar lorsque ses portes se sont ouvertes.

Mais il y a aussi eu des moments très étranges. Comme lorsque la Première ministre Mette Frederiksen est entrée pieds nus dans l'un des avions F-16 du hangar en compagnie de Zelenskyj. C'est là qu'ils se sont assis, ont dessiné et discuté en l'honneur des photographes avant leur départ.

Le ministre des affaires étrangères, Lars Løkke Rasmussen, était également présent. Il est resté au sol et ne s'est pas serré dans l'étroit cockpit.

Le message principal de la conférence de presse était que Mette Frederiksen offrait à l'Ukraine 19 des F-16 danois. La réponse à la question de savoir pourquoi ce nombre a été choisi n'est pas claire, car il n'a pas été possible de poser des questions à d'autres personnes que TV 2 et DR.

Les six premiers avions de combat seront envoyés vers le Nouvel An. Les huit autres suivront en 2024, puis cinq en 2025.

Commentaires

  • 19, 30 ou 40 F16 n’a guère d’importance. Il se pourrait bien qu’au printemps 2024, l’affaire soit définitivement achevée. Après autant de visites touristiques, Zelinsky trouvera peut-être un pays d’accueil à moins que les Ukrainiens l’aient eux-mêmes liquidés. Ce qui serait un juste retour des choses...

  • Allons, en France aussi, le 23 mai 2023... c'est toujours à se tordre de rire de revoir l'inoubliable prestation de l'humoriste Laurent Gerra.....mais nous ne sommes pas de froids nordiques....

    https://www.juristique.org/opinion/cirque-zelensky-sketch-laurent-gerra


    NB : l''article ci-dessus, indiquait 300.000 morts côté marches de la Russie, ...hélas faut-il mettre à jour : 400.000 morts face à moins de 40.000 morts russes (y inclus les 14 000 russes qui furent déjà assassinés entre le coup d'État dit de Maïdan, l'une de ces révolutions " de couleur" -pour ne pas remonter à 2011- et février 2022, début de l'opération spéciale. Après deux semaines, la Russie fut obligée d'adapter l'opération éclair qui aurait dû amener à la reconnaissance des oblasts perdus par l'Otan. en guerre longue pour répondre adéquatement au conflit d'attrition, que voyant son impéritie propre, cette alliance guerrière imposa ; Eele croyait mettre la Russie à genoux.
    Depuis, la Russie mène vraiment une guerre de libération de ses propres populations (que ceux qui doutent, s'informent sur l'histoire longue des mille dernières années) et pour se faire, Elle épargne ses hommes. L'Otan se fiche de la peau des russes ; pour ce monstre, plus de russes se font massacrer, mieux c'est ! Een même temps, le complexe militaro-industriel engrange des bénéfices plantureux et l'Oncle Sam, à la tête, menant le Léviathan occidental, ricane devant l'asservissement impensable de la meute.

  • Laurent Gerra est à Thierry Le Luron ce que Macron est à Mitterrand : il faut juste inverser les préférences sexuelles des uns et des autres.
    Les imitateurs, par définition, vont un peu loin, mais jamais très loin.

  • L'imitateur est encore, par définition, un conservateur. L'imitateur de gauche, avec un humour à la Guy Bedos, n'existe pas.
    Mais l'imitateur atteint sa limite s'il tend à devenir réactionnaire. Il en meurt.

  • "L'imitateur de gauche, avec un humour à la Guy Bedos, n'existe pas."
    Si Guy Bedos part en vacances à Marrakech, il ne prendra pas l'accent d'Afrique du Nord pour en faire un sketch. C'est une logique de sa part puisqu'il entend faire rire du racisme des bourgeois parisiens plutôt que de la bêtise indigène. Le génie d'un Molière est de s'être payé la tête avec la même désinvolture du bourgeois parisien et de "l'aristocratie" des mahométans ottomans...
    Le gars était costaud.

  • Encore ce siniqtre plaidantin qui n'a jamais mis les pieds en afrique et qui prétend donner des leçons à mon grand-père et à moi-même qu'il sache que j'ai vécu au Marox et que nous avions des méthodes simpleset efficaces pour ramener les jeunes dans le droit chemin le général B avait laiss& des instructions mais peu importe la police marocaine avait pour usage de sodomiser les jeunes délinquantq avec des battes de basaball ce qui les calmait illico mA BELLe-soeur qui vivait à Fès ou Fez et qui avait le teint mat est sortie d'in supermarché en 1954 en oubliant de payerun paquet de loukoums au fond du cadiq eh bien elle a dû subir une fouille au corps assez approfondie et ce n'est pas sa barbe qui l'a empêchée de se faire enc...
    - Au lit Théo !
    - Foutez-moi la paix bande de bonnes soeurs arriérées et je vous prie de m'appeler théofrède !!

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