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"Sound of freedom" au Salvador

Traduction d’un article de LifeSiteNews.

Le président pro-vie du Salvador a projeté le film à succès Sound of Freedom au théâtre présidentiel devant plus de 1.500 personnes ce week-end, dont des membres de son cabinet et de l'assemblée législative. Il s'est également engagé à lutter contre la traite des enfants.

Vendredi, Nayib Bukele s'est entretenu avec Eduardo Verástegui, producteur du film, et Neal Stoker Harmon, PDG d'Angel Studios, distributeur du film.

À l'issue de leur rencontre, Bukele a signé une lettre d'intention avec le mouvement Viva México de Verástegui, promettant de contribuer à l'éradication de l'esclavage des enfants. Ce faisant, le Salvador est devenu le premier pays à s'engager dans cette démarche, qui demande aux organismes gouvernementaux et aux institutions publiques de collaborer à leurs efforts.

Depuis sa première aux États-Unis le 4 juillet, Sound of Freedom a rapporté plus de 125 millions de dollars. De nombreux médias ont tenté de dissuader le public de le voir en l'accusant de promouvoir des "théories du complot". Jusqu'à présent, les gens n'ont pas écouté. La sortie du film dans plus d'une douzaine de pays d'Amérique latine est prévue pour le 31 août.

Ces derniers mois, M. Bukele, âgé de 41 ans, a été la cible de critiques de la part d'organes de presse occidentaux, bien qu'il se targue d'une cote de popularité de 90% et qu'il ait été à l’origine d’une baisse historique de la criminalité. Un nombre croissant de médias l'ont qualifié d'"autocrate" qui représente une "menace pour la démocratie". Mais les partisans de M. Bukele soutiennent que ses politiques anti-woke, "Le Salvador d'abord", ne sont que des mesures de bon sens qui améliorent la vie quotidienne de ses concitoyens. Il est candidat à sa réélection en 2024.

Verástegui a félicité M. Bukele non seulement d'être le premier président en exercice au monde à projeter le film (l'ancien président américain Donald Trump a organisé une projection dans sa propriété de Mar-a-Lago au début du mois), mais aussi d'avoir promis de contribuer à mettre fin à la traite des enfants.

"Vous, Monsieur le Président, êtes une référence dans le monde. J'ai voyagé à Londres et le sujet du Salvador résonne toujours. Je vous félicite parce que l'image mondiale de ce pays est admirable. Cela n'est pas gratuit, cela se gagne avec des actes, des actes et non des mots", a-t-il déclaré.

Bukele a félicité sa femme pour ses efforts en vue de protéger les enfants, ainsi que M. Verástegui et Angel Studios pour avoir mis en lumière ce problème.

"Le problème abordé par le film est un sujet dont on parle rarement, certains ont peur d'en parler", a-t-il déclaré lors de la conférence de presse. "Il est important que le message parvienne au monde entier afin qu'il y ait des solutions et des réformes pour éradiquer la traite des enfants."

Au début du mois, M. Verástegui s'est entretenu avec Doug Mainwaring, de LifeSite, au sujet du film. Il a demandé aux téléspectateurs de prier pour lui, car il envisage actuellement de se présenter à la présidence du Mexique.

Commentaires

  • Le pape François devrait, lui aussi, projeter ce film au Vatican.

  • Excellente suggestion

  • S'il le fait, avec publicité, je pourrais bouffer une casquette.

  • Tiens! ça me rappelle que le dr Alexandre n'a toujours pas mangé son chapeau.

  • On savait que nos "zélites" financières, politiques et médiatiques étaient une belle bande de dégueulasses et l'on savait aussi que la "crème de la crème" s'en prenait aux enfants.
    J'ignorais pour ma part l'ampleur monstrueuse de ces pratiques et les dizaines de milliards de dollars qui sont brassés là-dedans. Si l'on est optimiste, on peut évoquer cette "anesthésie du choc" qu'évoque Hemingway en d'autres termes à propos de la guerre ou de la tauromachie. Les gens vont peut-être finir par réagir...
    Que les merdias s'efforcent d'assimiler à du "complotisme" un film sur les dix années de travail à haut risque parfaitement documenté de Tim Ballard et de son organisation, travail étant un terme mal choisi s'agissant de bénévolat, montre où est tombé le "journalisme" de "grand chemin". Je suis peut-être naïf, mais je pense que les journalopes comme Tristan Mendès France font eux aussi un travail à haut risque : ils sont juste assez cons pour ne pas s'en apercevoir.

  • Prozorov, un ancien du SBU passé à la Russie dévoile le système de traite humaine (pédophilie, prostitution, organes) qui se déroule de façon industrielle actuellement en ukraine.

    https://telegra.ph/Des-enfants-ukrainiens-sont-victimes-de-trafiquants-desclaves-britanniques-et-américains-07-28

    https://t.me/ukr_leaks_fr

  • Les commanditaires du traffic d'esclaves, ont souvent été des membres d'une certaine tribu auvergnate qui sévit depuis des siècles. Et ils écumaient les pays slaves au Moyen Age pour fournir les marchés du sud.
    "Les esclaves noirs sont rares dans le monde antique. La majorité des captifs, alors, sont blancs, provenant des steppes d'Europe orientale et de Russie. Le mot « esclave » vient d'ailleurs de « slave ». Les sociétés agraires médiévales souffrent d'un énorme déficit de main-d'oeuvre. La traite embrasse alors l'univers connu de l'époque. Les esclaves arrivent du nord et de l'est, amenés par des marchands russes et byzantins, et aussi juifs méditerranéens qui écoulent des esclaves d'Europe occidentale, fruits de la course en Méditerranée." (Historia n°878 fev 2020)

  • L'esclavage est un crime, et qui n'a jamais concerné autant de monde qu'aujourd'hui dans toute l'histoire humaine, mais le sujet est ici le trafic d'enfants esclaves et de tous petits enfants esclaves qui servent d'objets sexuels avant d'être tués pour leurs organes, leur sang (adénochrome) ou sacrifiés dans les messes noires oligarchiques.
    Ces horreurs défient l'imagination, ce qui permet (pour un temps...) à ceux qui s'en rendent coupables ou complices de compter sur le "bon sens" du couillon moyen pour les ranger dans la rubrique "complotisme délirant", à côté des reptiliens et de la Terre plate...

  • "Tout petits enfants esclaves", au temps pour moi.

  • C'est tellement généralisé et épouvantable qu'il n'y aura pas assez de meules de moulin en pierre à mettre au cou de ces salopards. Mais quand on réfléchit un peu l'avortement est encore pire (avec trafic d'organes et embryons) et cela dure depuis longtemps, avec anesthésie complète des populations. On ne respirera sur cette Terre que quand Dieu mettra un terme à ces saloperies.

  • Historia donne une définition répandue qui en dit long sur notre inconscient arrogant de supériorité. Slave viendrait d'esclave. Et l'Algérie s'appelle la Bicoterrie peut-être ? Plus que probablement "Slov" ( = le mot, la parole) a formé Slave par opposition à ceux qui ne parlent pas la langue "niemiets" à l'ouest. A mettre en parallèle avec barbaros qui "bégaille" le grec. Beaucoup plus sensé.

  • Monsieur Bukele est un grand président. On aimerait que des politiques l'imitent de ce côté de l'Atlantique

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