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Isoler… la Biélorussie !

Propos surréaliste du ministre polonais de l’Intérieur Mariusz Kaminski :

« Nous restons en contact permanent avec nos amis lituaniens et lettons, car ils sont également victimes de provocations similaires. Et je n'exclus pas que si nous décidons que c'est alors la bonne réponse, nous parviendrons à isoler complètement la Biélorussie. »

Les « provocations » en question, ce n’est rien d’autre que le camp de la milice Wagner installé en Biélorussie.

Il faudrait procurer une carte à Mariusz Kaminski, pour tenter de lui faire comprendre qu’il n’est pas davantage possible d’isoler (complètement !) la Biélorussie que d’isoler Poutine… D’autant qu’il y a l’Union de la Russie et de la Biélorussie.

Enfin on ne voit pas en quoi un camp de Wagner en Biélorussie serait une provocation pour la Pologne et qu’une (importante) garnison permanente de l’armée américaine en Pologne, avec une débauche d’armements, ne serait pas une provocation (préalable) pour la Russie.

Commentaires

  • Ah maintenant il vous faut défendre le régime le si délicat régime de M Patate-Loukachenko et vous en prendre au méchant régime polonais...
    On se demande bien pourquoi les polonais n'apprécient pas la présence de la si sympathique milice Wagner dans un pays frontalier du leur et qui a tendance à déborder de pays en pays.
    Bravo à son gouvernement de défendre son pays.
    Jusqu'à quelle humiliation ira votre soumission à l'avenir? Vous offrez un spectacle édifiant. Je suppose que vous avez démonté ou brisé tous les miroirs chez vous.

  • Areu, areu.

  • Touche à ton c. , t'aura ses verrues.

  • Certains en sont à tenter de transcrire leurs rots fait après avoir abusé de bière. Ne changez rien, pour l'édification des visiteurs.

  • Les filles du Régent, Philippe d'Orléans, décidément fort mal élevées : le 21 mars 1722, Louise-Elisabeth, 11 ans, princesse des Asturies, reçoit Saint-Simon, ambassadeur en Espagne qui avait été chargé de conclure son mariage avec le fils de Philippe V, le futur Louis Ier. Celui-ci prend congé avant de rentrer en France :
    "Elle me regarda et me lâcha un rot à faire retentir la chambre. Ma surprise fut telle que je demeurai confondu. Un second partit aussi bruyant que le premier.... Enfin un troisième, plus fort encore que les deux premiers, mit tous les assistants en désarroi et moi en fuite..."
    Sur Philippe d'Orléans, quelques années auparavant : "Je m’en allai là-dessus à la Ferté, espérant du moins avoir paré ce comble. J’eus la douleur d’y apprendre qu’après avoir passé les derniers jours de la semaine sainte moins même qu’ équivoquement, quoique avec plus de cacherie, il avoit été à la plupart des fonctions de ces jours saints, suivant l’étiquette de feu Monsieur, qui les passoit presque toujours à Paris ; qu’il étoit allé le jour de Pâques à la grand’messe à Saint-Eustache, sa paroisse, et qu’en grande pompe il y avoit fait ses pâques. Hélas ! ce fut la dernière communion de ce malheureux prince, et qui, du côté du monde, lui réussit comme je l’avois prévu."
    Orléans mourut de mort subite et imprévue en décembre 1723 sans avoir repris connaissance et sans les secours d'un prêtre. La légende veut qu'il fût à ce moment-là en conversation avec une de ses maîtresses, Mme de Falari, sur laquelle il se laissa tomber et mourut :
    - Crois-tu de bonne foi qu'il y ait un Dieu, un enfer et un paradis après cette vie ?
    - Oui, mon prince, je le crois certainement.
    - Si cela est comme tu le dis, tu es donc bien malheureuse de vivre comme tu le fais.

  • Les ahuris du bocage breton qui pensent que Loukachenkon est un poète et un gars bien parce qu’il est l’ami du merveilleux Poutine sont d’une naïveté pathétique. C’est navrant que ce blog s affûté sur les questions liturgiques (même si Daoudal se la pete vraiment avec ses jugements à l’emporte pièce en se prenant pour le ceremoniaire eternel de la Ste Église) sombre dans ce délire occidental. Encore un qui aurait sucé du nazi en 1940.

  • @Oskar
    Comparés à Biden père et fils, Macron ou Zelensky, les occupants allemands étaient des types réglos, majoritairement hétérosexuels et qui savaient se tenir, ce qui, quoi qu'on pense par ailleurs de l'idéologie délétère de leurs dirigeants, est documenté : moins de Françaises violées en quatre ans d'occupation qu'en six mois sous les Chewing-gums. Mais je suis un peu hors-sujet car votre métaphore fait allusion à des mœurs qui sont plutôt encouragées par le camp dont vous faites partie.

  • Oskar et le Polonais passant ou volant sont des fans de Zélensky et de sa bande d'ukronazis et Oskar ose parler de nazis. Il vit en 1933? Nous sommes en 2023, avec des nazillons au pouvoir en Ukraine par la volonté des yankees criminels.

  • Les petits amis d'Anthony qui se baladent sur le site (à l'instar des amis de shlomo et consorts), soutiennent la Pologne qui sera sous cinq ans la terre des pédés, sodomites, invertis, tarlouses, gouinasses, saphiste, gomorrhéennes, trans, inters, infras, et toute la pourriture du monde. Ils soutiennent la clique d'ukronazis anti-russe, anti-polonais, anti-tout qui dans un avenir plus ou moins proche sera balayée.
    Je leur conseille d'arrêter au risque sinon, de voir leur rectocèle leur jouer des tours.

  • C'est exact, Stavrolus, l'occupant allemand s'est relativement bien comporté durant ces 4 années d'Occupation. On croit tout savoir sur la seconde guerre mondiale, mais toute la vérité historique n'est pas dans le camp des vainqueurs, loin s'en faut. L'historien Vincent Reynouard est actuellement en prison en Ecosse pour avoir émis des doutes sur la véracité de certains faits: Oradour sur Glane, camps nazi, etc...
    Quant aux Alliés, on commence à découvrir l'étendue de leurs crimes. Et ce sont pas les russes...
    Lisez cet article, cela en vaut la peine.
    https://reseauinternational.net/camp-americain-de-prisonniers-allemands-en-45-46-letendue-de-la-honte/

  • Merci.

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