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A Paris…

C’était samedi après-midi à Paris, au square du Temple, entre les deux aires de jeu. Des familles, des enfants… et une « performance » du collectif Famapoil : Sonia Kuipers et Clotilde Salmon, cette dernière insultant les mères de famille qui osaient critiquer le spectacle. Avec une « musique » horrifiante. Et sous la protection de la police. (Sonia Kuipers est également la directrice de « Agent adolescents (ados) »…)

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Et là c'était le "bal des fiertés", à la mairie de Lyon...

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Commentaires

  • Merci cher Daoudal, pour votre site exemplaire et salutaire. A la vue de ces images, il est grand temps que la Sainte Russie remette tout ce petit monde à l'ordre, et fermement !

  • Il y a de quoi être fier.

  • Je le redis encore une fois, ce seront les musulmans qui vont réagir alors que si un patriote catholique le faisait ce serait un scandale mondial.
    Or, gauchistes et féministes ne bougent pas le petit doigt quand un musulman commet un crime de lèse progressisme.
    Et je redis aussi que l'homosexualisme est le cheval de Troie vers la pédophilie.

  • La deuxième photo est très symbolique: la police macronique protège ce genre de vautrage dans la fange.

  • Le lobbyisme LGBT est très avancé dans la police.

  • Du lard et du cochon. Pardon, de l"art" très cochon, sans doute grassement subventionné par le ministère de la culture. Toujours plus loin dans la laideur mais déjà dépassée, cette pauvre Sonia K. Il va lui falloir vite trouver autre chose pour faire le buzz et capter l'argent public. Pauvre andouille...

  • Il faut distinguer :
    - la propagande des LGBT ;
    - le dilettantisme caca-pipi ;
    - l'expertise en mauvais goût.
    Je trouve que pour combattre la propagande des LGBT, leur dilettantisme caca-pipi est assez puissant, dans son imbécile et grotesque vulgarité, pour court-circuiter le ricanement des experts en mauvais goût. Mais il est vrai que dans ce monde de dingues on n'est jamais sûrs de rien.

  • Quelqu'un disait que pour une personne, la décomposition suit la mort tandis que pour une société, elle la précède.

    Qu'on ne se trompe pas, ni les islamises, ni les russes, ni qui que ce soit n'interrompra ce processus qui ira jusqu'au bout. Et puis ensuite, à la grâce de Dieu.

  • Ce sera Sodome et Gomorrhe en beaucoup plus spectaculaire... et planétaire.

  • "Quelqu'un disait que pour une personne, la décomposition suit la mort tandis que pour une société, elle la précède."
    Cela peut dépendre de ce qu'on avale comme quantité de whisky, ou de café comme Balzac... Et puis, qu'appelle-t-on décomposition ? Un cancer, c'est une décomposition. Et qu'est-ce que la mort d'une société ? Je ne pense pas que les Romains ou même les Aztèques aient été confrontés à une mise à mort de leur société aussi violente et complète que celle à laquelle est confrontée notre société chrétienne.
    Je dirais que la différence entre la mort d'une personne et celle d'une société, c'est qu'une société peut avoir beaucoup de choses : un territoire, une identité, une culture, un art, des monuments, un ange protecteur (C'est le rôle des Principautés, si je ne m'abuse) : elle n'a certainement pas une âme immortelle créée à l'image de Dieu. Il n'y a qu'une nature humaine, mais elle n'est pas consubstantielle.

  • Ce que l'on appelle décomposition est assez bien connu. Il s'agit du processus de putréfaction qui débute une fois que l'âme a rejoint sa patrie. Le cancer n'est pas une décomposition. Ce sont des cellules bien vivantes qui prolifèrent et même beaucoup trop.

  • Ouais ben je sais plus ce que dis Daoudal : je m'écoute penser, je me lis parler, je m'auto-admire, mais ce que j'ai dit c'est que les sociétés n'ont pas d'âme. C'est de l'anti-sociologie...
    En regardant un film comme Lutter pour vivre, qui a été filmé par Robert Young en 1970 chez les Inuits Netsilik ("le peuple du phoque"), j'ai remarqué que dans cette société quasi paléolithique de chasseurs de phoques sur la banquise, il y avait un grand nombre de gens extrêmement attachants comme le "chef" Itimaniark (un chasseur de première bourre qui sort un phoque de 200 kg par un trou de respiration minuscule), sa femme Kignuk, sa fille, son petit-fils...
    On les retrouve un an plus tard dans un court film : ils ont été sédentarisés de force par les Canadiens et vivent dans des préfabriqués. Itimaniark écoute de la musique country sur un appareil à cassettes et sculpte un ours en stéatite avant d'aller à la messe. Sa femme Kignuk fume des clopes tout en travaillant ses peaux. Ils sont toujours aussi modestes et attachants.
    Enfin, bon, je ne sais pas trop où je veux en venir, mais des gens qui ont une belle âme, ça existe... On peut admirer les Inuits Netsilik pour leur génie à chasser des phoques au harpon sur la banquise et déplorer que des salopards d'Occidentaux qui voulaient installer des bases de missiles sur la baie d'Hudson les aient privés d'un savoir-faire vingt-millénaire, mais ils n'ont pas forcément privé les meilleurs d'entre eux de leur âme, et ce qu'ils ont pu voler à la société netsilik tout entière n'est pas son âme (qui n'existe pas), même si en leur volant ce qu'ils leur ont pris ils ont pu abîmer les âmes des membres de leur société.
    Et si vous voulez qu'il y ait corruption et mort de la société netsilik, vous voyez bien que son assassinat par l'homme blanc qui a sédentarisé de force cette population du nord de la baie d'Hudson entre 1970 et 1971 a précédé son déclin.
    Par conséquent, la citation de votre mystérieux auteur ("Quelqu'un disait que pour une personne, la décomposition suit la mort tandis que pour une société, elle la précède.") ne tient pas la route s'agissant des Inuits Netsilik qu'on a tués pour pouvoir les corrompre.

  • Ouais ben je sais plus ce que dis Daoudal Ce que DIT...

  • Stravolvulus est un bon exemple de l'échec de la psychiatrie française.

  • @ Paul.
    Finement observé.

  • Je commentais une citation dont j'aimerais d'ailleurs connaître l'auteur, et je la commentais pour en dire qu'elle me semble hasardeuse, superficielle et fausse. Je la commentais parce que j'abomine les sophismes et la fausse profondeur.
    Ça fait aboyer deux roquets qui ne risquent pas d'avoir jamais à lire le commentaire d'un de leurs petits cacas.

  • Apparement le Stavromachin bien qu'encore vivant puisqu'il dépose toujours ses étrons numériques, a commencé sa décomposition.

  • T'assures vraiment zéro, pauvre homme. Tu devrais te trouver une activité plus gratifiante que l'ensemble grammaire, syntaxe et ponctuation, surtout sous l'égide d'un esprit qui te fait si cruellement défaut.

  • @Paul
    Toutefois, je prends ce "bien qu'encore vivant" pour un hommage involontaire du vice à la vertu. Je suis en effet vivant, beaucoup plus vivant que toi. La preuve en est que je t'ai demandé pardon récemment pour mes injures haddockiennes et que tu ressasses tes griefs comme un type sans générosité. Je n'ai pas de rancune, j'apprécierai ton génie, même s'il s'exprime par des imprécations, le jour où il s'exprimera. Tu devrais te ressaisir : tu passes pour vivant mais tu es mort.
    On ne peut pas faire Don Quichotte et Sancho Panza, Sganarelle et Don Juan, Laurel & Hardy avec n'importe qui. Et je te dis tout de suite qu'avec toi, même sans rancune, ça ne collera pas.
    Gros bisous.

  • On m'avait conseillé ce blog pour la qualité des échanges entre ses membres. Et là, je suis ébloui par cette production intellectuelle inégalable. C'est sûr, ils sont indétrônables ! Quelle chutzpah !

  • C'est ce dont Popol ne prend pas la mesure : là où est le cadavre se rassemblent les vautours ou plus ordinairement les mouches : bzz, va voir ailleurs si ta bobe fait du beyk (dans le ravissant dialecte de ta tribu d'arriérés !).

  • Je ne vais pas écrire ici, ce que je pense, cela serait trop long.
    Je ne vois vraiment pas qui va sauver le bateau France, on ne nage plus dans la fosse à merde, on la mange à la louche...
    Il faut une sacrée force de caractère, pour ne pas sombrer.

  • Je prends une option sur une vidéo de la rencontre du troisième type de ces msieurs dames avec des islamistes leur expliquant leur point de vue entre quatre yeux et de façon virile.
    Je me la repasserais en boucle les soirs d'ennui.
    Je suis charitable, je ne ferais que constater qu'ils ont eu tort de "jouer le jeu de l'amour en inversant les rôles" comme disait Brassens.
    Pour le paraphraser encore, "le crime pédérastique ne paie plus" mais il va bien finir par se paier cash.

  • Je suis quand même étonnés de l'absence de protestations de tant de psychiatres qui ont perdu une si enrichissante clientèle depuis que les pressions les ont obligés à supprimer l'homosexualité des maladies mentales.
    Et parti comme c'est, c'est nous qui risquons d'être soumis aux psychiatres pour oser le constater.
    Comme disait Chesterton "On tirera l'épée pour prouver que les feuilles sont vertes en été. Nous serons amenés à défendre non seulement les incroyables vertus de la vie humaine, mais quelque chose de plus incroyable encore, cet immense et impossible univers qui nous confronte.""

  • Les "psys" ont une patientèle, ne vous inquiétez pas pour eux. Le million d'euros que coûte une "transition de genre", sur toute une vie, se partage entre BigPharma, qui engrange la majeure partie en hormones, médicaments pour arrêter la puberté, antidépresseurs, etc., les chirurgiens, qui se font des couilles en or (si l'on ose dire) avec les opérations à 60 000, 80 000 et 100 000 euros, et les psys qui ont une patientèle de l'avant, du pendant et de l'après. En revanche, ce ne sont pas les psys qui voudraient curer la dysphorie de genre et surtout éviter sa contagion à toute la société qui s'enrichissent : ce sont ceux qui disent aux parents d'un ou d'une ado de douze ans mal dans sa peau : allez-y !

  • Au vu des résultats de la thérapie de Starvolanus, vous pouvez dire que ce sont des charlatans.

  • @Paul
    Je te remets le commentaire précédent, pour être bien sûr que tu l'auras lu, et dans l'espoir que tu trouveras une passion plus enrichissante et plus chrétienne dans la vie que la haine à l'égard d'autrui :
    "Toutefois, je prends ce "bien qu'encore vivant" pour un hommage involontaire du vice à la vertu. Je suis en effet vivant, beaucoup plus vivant que toi. La preuve en est que je t'ai demandé pardon récemment pour mes injures haddockiennes et que tu ressasses tes griefs comme un type sans générosité. Je n'ai pas de rancune, j'apprécierai ton génie, même s'il s'exprime par des imprécations, le jour où il s'exprimera. Tu devrais te ressaisir : tu passes pour vivant mais tu es mort.
    On ne peut pas faire Don Quichotte et Sancho Panza, Sganarelle et Don Juan, Laurel & Hardy avec n'importe qui. Et je te dis tout de suite qu'avec toi, même sans rancune, ça ne collera pas.
    Gros bisous."

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