Le Figaro a publié un « reportage » sur deux amies femmes de soldats ukronazis d’Azov retranchés à Azovstal qui s’étaient rendus aux Russes à la dernière extrémité. Le mari de l’une des jeunes femmes a été libéré, et pas l’autre, et sa femme tremble en pensant à son chéri qui est torturé tous les jours et meurt de faim dans les atroces geôles russes.
Il me semble avoir déjà lu cela il y a plusieurs semaines, voire plusieurs mois, peut-être en anglais, mais peu importe. Quand on voit la photo de celui qui a été libéré, la terrible peur de la femme de l’autre (selon le « reportage ») paraît proprement insensée. Quand on se souvient des images des loques humaines amaigries et blessées qui sortaient d’Azovstal, on voit que la prison russe a été pour celui-ci l’occasion de retrouver une forme olympique.
Une amie russophone me fait remarquer l’inscription sur le sac, sur le mode des innombrables « Keep calm » :
« Sois tranquille et brûle les Russes ».
Tout un programme...
Commentaires
« Sois tranquille et brûle les Russes ». Il n'a pas intérêt à retomber entre leurs mains. Il retourne quand au front?