Ce n’est pas l’initiative d’un prêtre détraqué, mais du diocèse de Grenoble. Et même de « l’Eglise », si on en croit l’annonce :
Le 17 mai sera célébrée la journée internationale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie.
À cette occasion, l'Église invite tous les chrétiens à un temps de prière pour se dépasser face à ces violences qui minent notre société.
Retrouvons-nous, à 20h, à l'église Notre-Dame du Drac à Seyssinet pour nous associer, apporter notre soutien en faisant monter nos prières auprès du Père
“Qui vous accueille, m'accueille” Mt 10:40
Ouvert à tous
J’ai commencé à chercher un temps de prière pour dépasser la cathophobie qui commence vraiment à me miner.
(Les documents - affiches, arguments, citations... - sont fournis par le portail italien "Foi et homosexualité".)
Commentaires
C'est très bien orchestré en simultané dans plusieurs pays catholiques. Et l'arc-en-ciel présent dans les couleurs de la nef sur l'affiche, c'est plus discret que des bandes de passage piétons.
Grenoble est une ville pourrie qui a pourri le clergé par immersion, et le clergé a pourri ou essaye de pourrir les fidèles..
Quand proposeront-ils des tentatives de dépassement de la satanophobie ? Ces pauvres et innocents membres de cultes rejetés par tous ces réac... effrayant !
Il est arrivé là même chose à Genève.
Mais des jeunes catholiques se sont mobilisés : résultat, ils sont critiqués par la presse "catholique" pour avoir parlé de "sacrifice de la messe"!
https://www.cath.ch/newsf/geneve-une-messe-destinee-aux-catholiques-lgbt-contestee/
Voici une analyse de l'affaire vu par un catholique
https://perspectivecatholique.ch/walk-of-faith-marche-pour-la-foi-ce-clerge-qui-inquiete-de-plus-en-plus-les-catholiques/
Et au centre de l'autel le cierge (pascal ?) orné du drapeau LGBT...
"Le 17 mai sera célébrée la journée internationale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie. À cette occasion, l'Église invite tous les chrétiens à un temps de prière pour se dépasser face à ces violences qui minent notre société."
Quelle église ? L'écrire avec une majuscule est déjà un blasphème. Quelle biphobie ? Ce serait l'hostilité envers le comportement sexuel qui consiste à forniquer avec des personnes des deux sexes, mais l'Eglise avec majuscule condamne déjà toute forme de fornication, fût-ce entre deux personnes de sexe opposé qui ont la ferme intention de se marier !
Quelles violences ? Il y en a, certes, y compris avec armes à feu aux Etats-Unis, mais elle viennent de ces tarés suicidaires dont la soif de reconnaissance ne s'apaisera qu'avec l'extinction de ce qui fait notre humanité. Ce sont eux, les violents, dans nos écoles et nos bibliothèques, pour endoctriner nos enfants, alors que la seule place qu'on puisse à la rigueur leur accorder est la scène des plus honteux cabarets !
Je moralise, je moralise, mais ces gens m'horripilent et m'inspirent exactement le sentiment que décrivait Marcel Proust (qui s'y connaissait...) :
"Le mépris que l'homme viril éprouve pour l'inverti, la femme le ressent pour l'homme trop amoureux." Je cite de mémoire...
Soif de "reconnaissance". Ils auront le temps d'avoir soif dans un lieu où il n'y a pas d'eau !
En fait, il suffit d'aller chercher le verset biblique pour tomber sur une citation en mode Témoins de Jéhova : le contexte biblique contredit l'usage de la citation.
Ainsi Mt X,37-39 : Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. Qui a trouvé sa vie la perdra ; qui a perdu sa vie à cause de moi la trouvera.
Bref c'est une condamnation du mode de vie des LGBTxxxxx !!
Enfin, le fameux verset Mt X,40 en tête d'affiche s'adresse en réalité aux disciples envoyés en missions.
Il manque d'ailleurs la seconde partie "et qui m’accueille accueille Celui qui m’a envoyé".
Or encore une fois, force est de constater que ces gens-là refusent le Christ et ses enseignements.
Donc rien que la citation est une vaste blague, voir un blasphème.