Alors que le gouvernement ukrainien a fait détruire quelque 10 millions de livres pour le seul fait qu’ils étaient écrits en langue russe (c’est le plus grand autodafé de l’histoire mais personne ne l’a condamné, il y a même eu une émission pour le justifier sur France 24), le ministère russe de l’Education publie des livres de classe en ukrainien, destinés aux enfants de la minorité ukrainophone des « nouvelles régions », comme il en existe dans les langues des autres parties de la Fédération de Russie.
Vladimir Poutine avait signé en 2018 une loi sur l’enseignement des langues maternelles à l’école, donnant aux parents la possibilité de choisir la langue de l’enseignement lors de l’inscription de l’enfant à la première puis à la cinquième année.