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Et vlan !

Le 30 mars dernier, la chaîne du dégueulis de la désinformation à gros bouillons LCI, par la voix de l’inévitable Pujadas, traitait le sujet suivant : « Russie : comment les “fils de” échappent à la guerre », et plus généralement sur « les enfants de l’élite russe… loin de la guerre ». Il y était question notamment (et même d'abord) de la fille du porte-parole de la Fédération de Russie Dmitri Peskov, qui « continue de loger dans son appartement luxueux du XVIe arrondissement de Paris »… et dont l’affaire russe est florissante uniquement parce qu’elle s’appelle Peskov…

La demoiselle a répondu, dans un français parfait :

Commentaires

  • "Si j'étais française, j'aurais honte de journalistes comme vous"

    S'j'étais Pujadas, après une baffe pareille, je paye mon verre est je cours me cacher.

  • Que cette dame n'hésite pas à exercer le droit de réponse , par exemple en faisant signifier au directeur de la chaîne une ordonnance sur requête prescrivant sous astreinte la publication de sa réponse : https://www.village-justice.com/articles/droit-reponse-comment-exerce,30321.html
    Soit la réponse est intégralement publiée , soit la chaine forme un référé-rétractation [on rigole] , soit la dame fait liquider la première astreinte et en fixer une seconde [on rigole] .

  • Pujadas est arrivé sur France 2 le 3 septembre 2001. Nous lui devons donc une partie du soigneux travail d'investigation journalistique accompli par la télévision française sur les fameux attentats du 11/09.
    J'ai toujours sa magnifique "synthèse" du 13/09 avec toutes les fraiches images de la télévision américaine. On y voit notamment un avion dont l'aile gauche passe derrière une tour située loin derrière la tour 2 du World Trade Center avant que ledit avion ne s'y enfonce sans projeter le moindre débris, comme un couteau dans une motte de beurre ramollie au soleil... Bon, je sais, je raconte ça tout le temps.
    Aucun rapprochement de mauvais goût avec la Lune, sous prétexte que Brando, dans un film des plus malsains, assouvissait les obscurs fantasmes de l'obscur Bertolucci à l'aide d'une motte de beurre. Je n'avais jamais vu au complet un film de ce cinéaste jusqu'à ce qu'un ami me conseille Le Conformiste il y a trois jours. Malgré la présence de Stefania Sandrelli et de son menton en cul d'ange (Ah ! Qu'elle est belle ! Ah ! Divorce à l'italienne !), je me suis fermement assoupi, et fermement convaincu que le pauvre Bertolucci avait dû être abusé dans son enfance par un oncle pervers, un ami de la famille ou un professeur de gymnastique du lycée Ampère.

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