Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, réagit vivement au dégueulis russophobe du Spiegel, aujourd’hui, qui, « déjà connu pour être un dépotoir des services secrets allemands et un diffuseur de désinformation, s'est surpassé à l'occasion de la Journée internationale de la femme ». Notamment en qualifiant le ministère d’« agence absolument sexiste ». Alors que le même jour la Komsomolskaïa Pravda donne la parole aux femmes diplomates russes. Maria Zakharova poursuit :
Si les correspondants du Spiegel avaient déjà assisté aux briefings du ministère des Affaires étrangères, ils sauraient qu'une bonne partie du personnel du ministère (47 %) est composée de femmes. Si nous ne prenons que les diplomates, environ 35 % d'entre eux sont des femmes, dont un cinquième occupent des postes de haut niveau. Ils apprendraient que je ne suis pas la seule, qu'il y a Nadejda Barinova, directrice du département historique et documentaire, les ambassadrices Lyudmila Vorobyeva et Eleonora Mitrofanova (qui a d'ailleurs été vice-ministre des affaires étrangères), des consuls généraux, des directeurs et directeurs adjoints de départements et des chefs de départements. Il y en a aujourd'hui et il y en aura encore plus. Et ce, sans quotas artificiels de genre, uniquement sur la base des qualités professionnelles.
C’est cette dernière phrase qui m’a intéressé.
Ci-dessous l’intégralité du texte de Maria Zakharova, dans la traduction automatique de DeepL.
Le magazine allemand Der Spiegel, connu auparavant pour être un dépotoir des services secrets allemands et un diffuseur de désinformation, s'est surpassé à l'occasion de la Journée internationale de la femme.
Dans un article truffé de clichés sexistes répugnants, la journaliste allemande Solveig Grote a résumé son point de vue sur les femmes en Russie - politiciennes, fonctionnaires, journalistes, universitaires et représentantes de la société civile. Dans son article, elle qualifie qui d'"alarmiste répressive", qui de "mère", qui de "troll" et qui de "poupée de fer". L'auteur a pris un plaisir particulier à décrire les mères de soldats, y compris celles qui ont perdu leurs fils sur les champs de bataille de la racaille néo-nazie. Solveig Grote écrit à propos de l'"historienne" franco-russe Galia Ackerman : "Parmi les partisans de Poutine, selon Ackerman, il y en a dont on ne s'attendrait pas à ce qu'ils fassent partie : des mères dont les fils ont été envoyés servir dans la zone de l'OFS. <Selon elle, "beaucoup ont subi un lavage de cerveau complet par la propagande". "Il y a des patriotes qui ne pleurent pas la mort de leurs proches, ils disent que c'est nécessaire."
Cette Solveig Grote a vraiment oublié d'ajouter que toutes les femmes qu'elle a mentionnées demandaient depuis 8 ans à la communauté internationale de mettre fin au massacre dans le Donbas, d'y envoyer de l'aide humanitaire, de collecter de l'argent pour soigner les civils blessés lors des bombardements des néo-nazis ukrainiens, y compris des personnes âgées et des enfants.
Il semble également que l'Allemande ait oublié que les fils des mères des soldats sont tués avec les mêmes armes que celles fournies au régime de Kiev par le gouvernement allemand.
Pas un mot sur le fait qu'Angela Merkel a publiquement admis que Berlin n'avait aucune intention de mettre en œuvre les accords de Minsk et feignait d'adhérer à la résolution du Conseil de sécurité, gagnant ainsi du temps pour réarmer l'Ukraine.
Plusieurs personnes m'ont déjà demandé ce que les correspondants du Spiegel faisaient à Moscou. Franchement, je ne peux pas expliquer pourquoi le Spiegel en Russie a besoin de journalistes alors qu'ils sont occupés à composer des articles à partir de rien.
Les passages sur les mères des héros étonnent par leur cynisme et choquent par leur immoralité. Et en général, seuls les professionnels du mensonge peuvent rassembler autant d'absurdités, de mensonges analphabètes et de clichés en un seul endroit. Prenons par exemple le sous-titre, dans l'esprit de la propagande politique occidentale : "Les femmes russes, colonne vertébrale du régime : les femmes staliniennes derrière Vladimir Poutine"...
Le ministère russe des affaires étrangères a également été malmené, qualifié d'"agence absolument sexiste". Dommage qu'ils n'aient pas précisé qui "harcèle" qui : les hommes pour les femmes ou les femmes pour les hommes. Sinon, nos collègues nous ont chanté hier, on pourrait croire qu'ils l'ont fait sous la menace des pistolets des femmes.
Commentaires
Poutine n'expulse pas les journalistes-pédales du "Der Spiegel" présents à Moscou?
Solveig Grothe est "grotesk"
Il y a des jours où il oublie qu'il est un dictateur. Alzheimer en plus des cancers...
En cette journée de la femme, et des femmes, rappelons que si la nature leur a donné des pieds plus courts que ceux des hommes, c'est pour être plus près de l'évier.
Pour l'occasion, j'ai dit à la mienne de laisser la vaisselle : elle la fera demain.
Comme le Chat, je lui passe l'aspirateurEt une poitrine pour mieux se pencher sur l'évier. Mais depuis l'invention du lave-vaiselle, elles ont moins de poitrine et des pieds plus grands.
Stavrolus devient dangereusement évolutionniste.
@YD
Euh? Non, cela reste dans la même espèce, comme le nez de Macron qui s'allonge de plus en plus.