Pour ceux qui n’ont pas lu le livre d’Andrea Cionci « Codice Ratzinger », le Code Ratzinger, ou n’ont pas suivi l’enquête par les articles de Benoît et moi, l’auteur a résumé sa thèse dans une vidéo. On pourra y ajouter le dernier indice trouvé par Andrea Cionci : sur la pierre tombale de Benoît XVI est inscrit : « BENEDICTVS P.P. XVI ». P.P. : pastor pastorum, un titre qui appartient exclusivement au pape en fonction. Voir aussi ce texte sur les obsèques (le rogito et le choix des lectures).
Commentaires
Bergoglio est un usurpateur. Qui peut en douter, ? Sans entrer dans les considérations savantes qui seront produites en Temps ... Tellement de paroles et d'actes le fondent. Il en serait de même pour tout successeur éventuel ainsi jusqu'à ce que l'Église catholique se prononce sur la vacance complète ou partielle du 'Siège du bienheureux Pierre et Chaire de Vérité pour la Lumière du monde' [repris du pape Léon XII] et ce à partir de Roncalli-Jean XXIIII ....
L'Église est belle et bien éclipsée ! La Très Sainte Vierge Marie en pleurs nous a prévenus par les voix de Mélanie et de Maximin en 1846 à La Salette..
P. P.= Pastor Pastorum ?
Oui, vous avez raison. P.P. est généralement interprété comme pastor pastorum.
Je viens de vérifier: Andrea Cionci dit bien "pater patrum". C'est bizarre.
Je suis mal à l’aise avec cette thèse.
Comme l’impression de lire le Tome 2 de ‘’L’anneau du pêcheur’’...
Moi aussi. Le problème est de systématiser les choses troublantes. Reste qu'elles sont troublantes.
Ceci dit, je partage avec vous cette impression que les choses sont étranges. Pesantes même car il y a comme une logique, difficile à maîtriser.
Beaucoup de sophismes de juriste et de pinaillages prétendus linguistiques... Si ce monsieur savait vraiment le latin, il saurait qu'il n'est pas un congrès de "grands latinistes" où ne pullulent les fautes de latin. C'est même un jeu de compter les fautes des petits camarades.
Car le latin a toujours été une langue difficile à maîtriser parfaitement, surtout pour nous modernes qui n'avons pas l'occasion de le pratiquer tous les jours.
Ce monsieur ne fait que reprendre l'argument du munus et du ministerium qui court depuis 2013. Nous autres catholiques devrions être les derniers à contester la réalité des signes qui ont été adressés au monde par le Ciel depuis 2013, à commencer par la foudre tombée sur Saint-Pierre le jour de la renonciation de Benoît XVI, un signe dont il est difficile de soutenir qu'il aurait été adressé à son successeur... C'est bien là l'un des mystères...
Pour le reste, nous avons vu et nous voyons Bergoglio à l’œuvre. Et nous voyons aussi comment va le monde depuis qu'il a fait entrer la Pachamama dans Saint-Pierre et l'a fait placer sur l'autel.
Attendons-nous au pire.
Ce qui fait sens, ce qui doit faire sens, n'est pas le seul juridique (munus) ou le seul physique (éclair) qui fait signe, mais la superposition et l'alignement de ces éléments avec la pratique (patchamama?) l'émotionnel (haine du rite extraordinaire) et le spirituel (hétérodoxie).
De même qu'un miracle ne se juge pas à des faits extraordinaires, mais (aussi et en même temps) à la fécondité spirituelle qui en découle.
C'est la cohérence de l'ensemble qui permet de lire la vérité, à la fois symbolique et spirituelle. Symbole = De συμβάλλω, sumbállô., le rapprochement des éléments distincts qui permet de reconnaître l'unicité de l'objet sous-jacent.
« Les fumées de Satan sont entrées dans le peuple de Dieu ».
Il y a effectivement dans tout cela un petit air d'"Anneau du Pécheur", à mon avis le meilleur livre de Raspail.
Mais il y a aussi de plus en plus d'éléments concrets qui, s'accumulant, ont fait l'objet du livre d'Andrea Cionci, maintenant paru sous forme électronique en français : https://www.amazon.it/dp/B0BTTCC7MZ/ref=sr_1_5?qid=1675491987&refinements=p_27%3AAndrea+Cionci&s=books&sr=1-5
Et puis cette dernière 'découverte', assez sensationnelle, le fait que la transcription officielle n'intègre pas le fait que Benoît XVI ait clairement fait allusion dans sa Declaratio à l'horaire romain (hora vigesima), ce qui change énormément de choses. Voir à ce sujet l'article suivant, en version française :
https://sfero.me/article/insomnie-avec-hora-vigesima-romaine-benoit
ainsi que l'italien, qui comporte des graphiques explicatifs non encore intégrés à la version française et vraiment nécessaires à la compréhension : https://www.liberoquotidiano.it/articolo_blog/blog/andrea-cionci/34681532/insonnia-con-l-hora-vigesima-romana-benedetto-xvi-segna-la-sede-impedita.html
Il est de plus en plus clair que Joseph Ratzinger, à bout de résistance face aux loups qui l'entouraient, a poussé sur le bouton 'reset' mis en place par JPII avec son aide, et qu'il l'a fait, comme à son habitude, dans le moindre détail, poussant Bergoglio dans l'illégitimité et protégeant la validité de la succession apostolique.
Cela dit, François se moque complètement de la question, ce qui l'intéresse, lui et son groupe, c'est le pouvoir réel, afin de mener à bien sa "mission".
En guise de conclusion, et pour ceux que cela intéresse, il y a un autre dossier, très chaud, en cours : selon des sources argentines très bien informées, relayées par le site Comovaradealmendro, François aurait été ordonné diacre puis prêtre de façon illicite. Si cela est vrai, non seulement il n'était pas véritablement cardinal, et il n'avait même pas le pouvoir de bénir ! Rappelez-vous son arrivée sur le balcon de St Pierre et réfléchissez-y à deux fois.
Vous voulez dire évêque, et non cardinal. Car un laïc peut être cardinal.
Cher Yves, je vous accorde le point !