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L’avortement en France

Il n’y a plus d’avortements au « pôle de santé » (sic) de Villeneuve-sur-Lot depuis avril 2022, à cause d’un conflit entre les gynécologues obstétriciens et une sage-femme, laquelle a fini par quitter l’établissement. Or c’était elle qui pratiquait les avortements…

« C’est un droit qui est bafoué », s’insurge le « collectif Défense IVG Villeneuve ». « Je pense qu'ils n'ont pas conscience de la décision qu'ils ont prise, ni du fait qu'ils se mettent hors la loi. Il y a un droit qui est dénié. C'est un droit qu'il faut défendre. »

France 3 relaie avec l’indignation qui convient cette atteinte au droit de tuer les bébés, et ajoute le témoignage d’une jeune femme évidemment anonyme :

Lorsqu'elle tombe enceinte, elle se trouve sous pilule contraceptive depuis six mois. On lui conseille alors de contacter le pôle de santé de Villeneuve-sur-Lot, qui la renvoie vers l'hôpital d’Agen. Mais à Agen, on lui indique ne pas non plus pouvoir la prendre en charge. “Ils m’ont dit que je ne dépendais pas de ce centre hospitalier”. La jeune femme se trouve alors démunie. "J'ai été très contrariée, je me suis sentie très seule. En France, c'est quand même un droit." C'est auprès d'une sage-femme libérale qu'elle finira par avorter.

Car le travail des sages-femmes, aujourd’hui, ce n’est plus de mettre les bébés au monde, c’est de les tuer.

Commentaires

  • 2022 sans doute? C'étaient des avortements chirurgicaux que pratiquait cette sage-femme? Légalement c'est encore une expérimentation géographiquement circonscrite si je ne me trompe.

  • "Car le travail des sages-femmes, aujourd’hui, ce n’est plus de mettre les bébés au monde, c’est de les tuer."
    C'est exact et surtout, pendant leurs études on oblige les élèves sages-femmes à participer à des avortements chirurgicaux et les pilules et autres abortifs sont largement au programme. En cas de refus, elles n'ont pas leur diplôme. La dictature luciférienne ne laisse rien au hasard. Beaucoup de jeunes filles renoncent à cette profession devenue criminelle, comme celle des médecins obstétriciens.

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