Dmitri Rogozine a envoyé à l’ambassadeur de France à Moscou le fragment d’obus qui s’est fiché dans une de ses vertèbres le 21 décembre dernier lors du bombardement de l’hôtel de Donetsk où il fêtait son anniversaire.
Car il s’agissait bien d’un obus lancé par un canon français Caesar. Mais la technologie française n’a pas réussi à éliminer l’ancien président de l’agence spatiale russe.
Commentaires
La réplique de ce gentilhomme russe est tout simplement... géniale !