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La dictature des pervers

Sous pression des militants LGBT, la mairie du IIIe arrondissement de Paris a annulé un colloque qui devait s’y tenir dimanche sur les « nouveaux enjeux des parents », avec une table ronde sur « la fabrique de l’enfant transgenre », autour des deux auteurs du livre dont c’est le titre, Caroline Eliacheff, pédopsychiatre, et Céline Masson, psychanalyste. Des « chercheurs [on ne doit pas dire chercheuses ?] aux positions controversées », découvre la mairie qui se dit « engagée contre toutes les discriminations et contre la transphobie ».

Or les deux femmes demandent seulement que les médecins qui reçoivent des enfants se disant transgenre « prennent quelques précautions avant de prescrire des traitements aux effets irréversibles ». Mais cela c’est transphobe. Car la propagande transgenre bat son plein et il faut inciter les enfants à « changer de genre », et à le faire réellement, chirurgicalement, pas comme la plupart de leurs aînés qui font semblant.

Aux Etats-Unis c’est devenu une industrie, et la propagande commence dès la maternelle. Un enseignant californien diffuse une vidéo où il explique comment faire efficacement la propagande transgenre aux enfants de 5 ans.

Et l’on y vient. Chez nous, le Conseil d’Etat a édicté le 28 septembre dernier que les enseignants ont l’obligation de respecter le choix du prénom que se donnent les « enfants transgenre ».

Commentaires

  • Enfants "transgenre" :
    Ils sont soumis à un invariant qui est la nature, mais ce mot imbécile, associant aussi improbablement que la réalité qu'il désigne un préfixe latin et un substantif pour se changer en adjectif (A ce compte, on pourrait tout autant parler d'un enfant "transidentité", pourquoi pas ?), ce mot monstrueux de notre novlangue inique et inepte n'est cependant pas invariable.
    Il "faudrait" donc écrire "les enfants transgenres". Mais vous êtes aussi excusable que Saint-Simon quand il écrit distraitement quelque part "fit" au lieu de "fils", faute qui a le mérite de nous renseigner sur sa prononciation archaïque du mot "fils".

  • "Ils sont soumis à un invariant qui est la nature" Quelle salope cette Nature! Il n'y a pas plus homophobe et spéciste! Que fait la police?

  • Ces choses là n'arrivent que chez vous. C'est normal.

  • @ Shlomo Ben Izrael Précisez
    C'est quoi "ces choses" ?
    "chez vous" c'est où.? Vous habitez la planète Mars ou Jupiter?

  • Les enseignants n'ont qu'à appeler les élèves par leur nom !

  • Exact, quoique le nom de famille balancé sèchement sans titre risque de paraître assez cavalier, impoli et même incongru... Certains enseignants ont eu paraît-il des ennuis pour avoir refusé de donner du "iel" à un ou une de ces brindezingues, mais en général, les élèves, on leur donne du "tu", à la rigueur du "vous", pas du "il" ou du "elle", dont on peut aisément se passer sans renier ses convictions.
    Enfin, j'ai déjà eu de drôles de zèbres en seconde, en troisième, voire en quatrième. Dieu me préserve de tomber sur un Albert qui tiendrait à se faire appeler Albertine !

  • Caroline Eliacheff est la fille de Françoise Giroud, plus courageuse que sa mère puisqu'elle prend des positions condamnées par l'intelligenzia...

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