Si la Banque centrale européenne doit augmenter ses taux d’intérêt, c’est en raison de la crise due à la combinaison d’un « très rapide rétablissement » après la pandémie et de « la crise de l’énergie causée par M. Poutine », a déclaré hier soir Christine Lagarde à la télévision irlandaise.
Non contente d’asséner à son tour le mensonge obligé sur la crise, elle a ajouté que lorsque vous parlez avec Poutine tout à coup il a un « regard qui lance des éclairs, glacial, un aspect terrifiant » ; et (à propos de la guerre en Ukraine) qu’il est « malade » et que « quiconque se comporte de cette façon est forcément conduit par des forces maléfiques ».
La bonne nouvelle, c’est que la présidente de la Banque centrale européenne croit au diable. Mais elle n’a pas encore vu où il est. On notera que la diabolisation de l’adversaire, de la façon la plus littérale, fait désormais partie des « valeurs européennes ».
Commentaires
Elle nous avait fait un numéro de numérologie en 2014, avec les 7, qui procédait du satanisme le plus frappant ! On en était presque gêné pour elle. 2014 + 7 = 2021, l'année de la "vaccination" !
Je ne sais pas si je suis bien éclairé par l'Esprit Saint ; je dois reconnaître que c'est ce que je pense, mais je ne vois pas pourquoi je serais touché de telles faveurs. En tout cas, moi, c'est la gueule et la voix de Macron qui me rendent littéralement malade au bout de quinze secondes. Je sais bien que ce type n'est qu'un pantin robotisé, mais cette haine viscérale était déjà ma réaction en 2015-2016, quand je n'avais jamais entendu parler d'Alstom et du reste : ce n'est même pas de la haine, c'est viscéral. Ce type me donne envie de dégueuler, comme pour Alex, le "héros" d'Orange mécanique, la musique de Beethoven. C'est pourquoi je conteste le "Mozart" de la finance ou même le "Beethoven" de la finance. Ce type est un Webern, et pas seulement de la finance !
Je voulais dire Arnold Schönbouarrgh. Anton Webeurkh est peut-être plus audible. Il y a aussi Alban Beurgh !