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A Donetsk

C'était hier la fête patronale du couvent de l'icône de la Mère de Dieu Iverskaïa à Donetsk. "Malgré les hostilités en cours, les fidèles paroissiens du monastère se sont à nouveau réunis pour honorer la Mère de Dieu, pour la remercier de son intercession, de sa consolation et de son amour. Avec la bénédiction de Son Eminence Hilarion, métropolite de Donetsk et de Marioupol, la Divine Liturgie a été célébrée par l'archiprêtre Piotr Ustimenko, doyen du district Preobrazhensky, co-desservi par le clergé de la ville."

Commentaires

  • Il existe une icône Iverskaya (icône des Ibères c-à-d des Georgiens) à Paris en l'église cathédrale des Trois Saints Docteurs.

    Lors cours du sac de Moscou par les troupes françaises, un officier français s'empara de l'icône Isverskaya vénérée dans une petite chapelle à l'entrée de la place rouge. De 1812 à 1852 la chapelle resta sans icône. En 1852 une nouvelle copie y fut placée. La chapelle fut rasée par les bolchéviques en 1929 mais l’icône (de 1852) récupérée. La copie y a repris sa place à l'entrée de la place rouge où les offices sont célébrés quotidiennement, les fidèles étant dehors (la chapelle fait 6 m2).

    En 1930, un réfugié russe, ancien moscovite, M. A. Pavlov, passant devant la vitrine d’un antiquaire rue Saint-Honoré à Paris, reconnut l’icône. L’antiquaire expliqua qu'elle appartenait aux descendants d’un officier français qui l’avait emportée de Moscou en 1812. Ils la mettaient en vente. La somme demandée par l’antiquaire, M. Kagan, était astronomique, 25 000 francs.

    Finalement, l'icône fut achetée pour 15 000 francs, fruit de bien des sacrifices. Le 11/24 janvier 1932 un moleben solennel d’actions de grâce fut célébré dans la paroisse.

    Depuis, elle est vénérée par les fidèles parisiens de la paroisse.

  • "Finalement, l'icône fut achetée pour 15 000 francs,"
    Ayant été volée elle aurait dû être restituée sans paiement, comme les oeuvres volées par les nazis furent restituées si elles étaient identifiées.

  • Merci beaucoup. Je ne connaissais ni cette histoire ni l'existence de cette église parisienne. Elle est très laide de l'extérieur, mais l'iconostase paraît remarquable. Serait-elle d'Ouspensky ? Je vois que l'église doit beaucoup à Berdiaev, Lossky et Ouspensky, et que ce sont ces deux derniers qui ont réuni l'argent pour récupérer l'icône Iverskaïa - que je ne vois nulle part.

  • Oui, Ouspensky et le moine Krug. L’icone Isverskaya de taille respectable, environ 100x150, est sur la gauche. L’édifice fut construit fin des années 50 à la place de la fabrique de vélos louée par les orthodoxes russes de l’immigration et toujours attachés à Moscou (ce qui n’en faisait pas des supporters du régime). Lors de la reconstruction, le promoteur voulait bien conserver l’église à la seule condition que cela ne se vit pas de l’extérieur. L’iconostase montre deux portes royale, chose peu commune en raison des deux autels, l’un dédié aux trois Saint Docteurs, l’autre à Saint Thikon de Zadonsk et matérialisant le double attachement géographique. En raison de la configuration, lors de la nuit pascale, la procession est obligée de faire le tour du pâté de maison (avec une voiture de police à chaque angle pour parer à toute éventualité) devant les bobos attablés qui apprennent que le Christ est ressuscité. Il existe un beau documentaire réalisé l’an dernier sur l'icône Iverskaya que je ne retrouve pas mais dont je communiquerai le lien dès que je l´aurai.

  • Oui, Ouspensky et le moine Krug. L’icone Isverskaya de taille respectable, environ 100x150, est sur la gauche. L’édifice fut construit fin des années 50 à la place de la fabrique de vélos louée par les orthodoxes russes de l’immigration et toujours attachés à Moscou (ce qui n’en faisait pas des supporters du régime). Lors de la reconstruction, le promoteur voulait bien conserver l’église à la seule condition que cela ne se vit pas de l’extérieur. L’iconostase montre deux portes royale, chose peu commune en raison des deux autels, l’un dédié aux trois Saint Docteurs, l’autre à Saint Thikon de Zadonsk et matérialisant le double attachement géographique. En raison de la configuration, lors de la nuit pascale, la procession est obligée de faire le tour du pâté de maison (avec une voiture de police à chaque angle pour parer à toute éventualité) devant les bobos attablés qui apprennent que le Christ est ressuscité. Il existe un beau documentaire réalisé l’an dernier sur l'icône Iverskaya que je ne retrouve pas mais dont je communiquerai le lien dès que je l´aurai.

  • Oui, Ouspensky et le moine Krug. L’icone Isverskaya de taille respectable, environ 100x150, est sur la gauche. L’édifice fut construit fin des années 50 à la place de la fabrique de vélos louée par les orthodoxes russes de l’immigration et toujours attachés à Moscou (ce qui n’en faisait pas des supporters du régime). Lors de la reconstruction, le promoteur voulait bien conserver l’église à la seule condition que cela ne se vit pas de l’extérieur. L’iconostase montre deux portes royale, chose peu commune en raison des deux autels, l’un dédié aux trois Saint Docteurs, l’autre à Saint Thikon de Zadonsk et matérialisant le double attachement géographique. En raison de la configuration, lors de la nuit pascale, la procession est obligée de faire le tour du pâté de maison (avec une voiture de police à chaque angle pour parer à toute éventualité) devant les bobos attablés qui apprennent que le Christ est ressuscité. Il existe un beau documentaire réalisé l’an dernier sur l'icône Iverskaya que je ne retrouve mais dont je communiquerai le lien dès que je l´aurai.

  • Oui, Ouspensky et le moine Krug. L’icone Isverskaya de taille respectable, environ 100x150, est sur la gauche. L’édifice fut construit fin des années 50 à la place de la fabrique de vélos louée par les orthodoxes russes de l’immigration et toujours attachés à Moscou (ce qui n’en faisait pas des supporters du régime). Lors de la reconstruction, le promoteur voulait bien conserver l’église à la seule condition que cela ne se vit pas de l’extérieur. L’iconostase montre deux portes royale, chose peu commune en raison des deux autels, l’un dédié aux trois Saint Docteurs, l’autre à Saint Thikon de Zadonsk et matérialisant le double attachement géographique. En raison de la configuration, lors de la nuit pascale, la procession est obligée de faire le tour du pâté de maison (avec une voiture de police à chaque angle pour parer à toute éventualité) devant les bobos attablés qui apprennent que le Christ est ressuscité. Il existe un beau documentaire réalisé l’an dernier sur l'icône Iverskaya que je ne retrouve mais dont je communiquerai le lien dès que je l´aurai.

  • Oui, Ouspensky et le moine Krug. L’icone Isverskaya de taille respectable, environ 100x150, est sur la gauche. L’édifice fut construit fin des années 50 à la place de la fabrique de vélos louée par les orthodoxes russes de l’immigration et toujours attachés à Moscou (ce qui n’en faisait pas des supporters du régime). Lors de la reconstruction, le promoteur voulait bien conserver l’église à la seule condition que cela ne se vit pas de l’extérieur. L’iconostase montre deux portes royale, chose peu commune en raison des deux autels, l’un dédié aux trois Saint Docteurs, l’autre à Saint Thikon de Zadonsk et matérialisant le double attachement géographique. En raison de la configuration, lors de la nuit pascale, la procession est obligée de faire le tour du pâté de maison (avec une voiture de police à chaque angle pour parer à toute éventualité) devant les bobos attablés qui apprennent que le Christ est ressuscité. Il existe un beau documentaire réalisé l’an dernier sur l'icône Iverskaya que je ne retrouve pas mais dont je communiquerai le lien dès que je l´aurai.

  • Oui, Ouspensky et le moine Krug. L’icone Isverskaya de taille respectable, environ 100x150, est sur la gauche. L’édifice fut construit fin des années 50 à la place de la fabrique de vélos louée par les orthodoxes russes de l’immigration et toujours attachés à Moscou (ce qui n’en faisait pas des supporters du régime). Lors de la reconstruction, le promoteur voulait bien conserver l’église à la seule condition que cela ne se vit pas de l’extérieur. L’iconostase montre deux portes royale, chose peu commune en raison des deux autels, l’un dédié aux trois Saint Docteurs, l’autre à Saint Thikon de Zadonsk et matérialisant le double attachement géographique. En raison de la configuration, lors de la nuit pascale, la procession est obligée de faire le tour du pâté de maison (avec une voiture de police à chaque angle pour parer à toute éventualité) devant les bobos attablés qui apprennent que le Christ est ressuscité. Il existe un beau documentaire réalisé l’an dernier sur l'icône Iverskaya que je ne retrouve pas mais dont je communiquerai le lien dès que je l´aurai.

  • Réaction à la triche électorale généralisée, écœurante, répugnante et scandaleuse : ça finira bien par avoir lieu quelque part... Au Brésil ?
    Cassez tout !

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