À l’occasion de la « Journée internationale de l’avortement libre et sécurisé », hier, des médecins et universitaires belges ont publié une tribune dans laquelle ils tirent la sonnette d’alarme : le « droit à l’avortement est en danger », parce que 65% des avorteurs sont proches de l’âge de la retraite, et c’est « un vrai problème de santé publique ». Il faut donc inclure de façon « claire et explicite la formation à l’avortement dans le programme d’études médicales », pour que les techniques d’assassinat des bébés « fassent partie intégrante du cursus de l’étudiant en médecine ».
Commentaires
Eh bien, c'est gai, ça donne envie de faire médecine.
J'ai une relation dont la fille a fait médecine. Deuxième année, première opération à laquelle elle se doit d'assister : "changement" de sexe...
Et en France, les élèves sages-femmes doivent assister à plusieurs avortements au cours de leurs années d'étude. Et ne parlons pas des médecins...