Alors que les Ukrainiens ont bombardé la cour d’appel de Kherson, assassiné le procureur général de la République de Lougansk et son adjointe (curieuse idée de la justice), ainsi qu’un adjoint au maire de Berdiansk et sa femme, les médias planétaires annoncent uniquement la découverte d’une « fosse commune » près d’Izioum. En fait « une fosse commune » de 443 tombes : sic. Une nouvelle preuve de la sauvagerie russe...
C’est un sinistre remake des « fosses communes » de Marioupol, qui étaient également des tombes individuelles où chaque victime est identifiée soit par son nom soit par un numéro qui pourra permettre l’identification. La différence est qu’il y a eu beaucoup plus de victimes à Marioupol.
Ces victimes sont des victimes des Ukrainiens. Et doublement.
D’abord parce que l’armée ukrainienne, et tout spécialement ses bataillons nazis (à Izioum comme à Marioupol) privilégie la guerre urbaine, prenant les habitants comme boucliers humains et transformant les habitations civiles en postes de tir. Et parce que les autorités ukrainiennes ont caché à la population que l’armée russe avait prévu un corridor humanitaire, tandis qu’elles-mêmes tardaient obstinément à évacuer les civils qui le voulaient vers l’intérieur du pays.
Ensuite parce que l’armée ukrainienne et les autorités civiles laissaient les morts dans les appartements et dans les rues. C’est seulement lorsque les troupes sont parties de la ville (autour du 1er avril) que les nouvelles autorités ont pu donner une sépulture aux victimes civiles et aussi aux soldats ukrainiens tués. Ces personnes sont mortes en mars pendant la bataille d’Izioum. Il y a aussi des tombes de personnes tuées depuis lors. Et celles-là forcément par des roquettes ukrainiennes. Ces roquettes (américaines et françaises) que l’armée ukrainienne envoie tous les jours dans les villes qu’elle a perdues et qui font tous les jours des victimes (depuis huit ans dans le Donbass).
Ci-dessous la tombe d’un certain Vladimir, mort le 17 mai (lors d’un intense bombardement ukrainien).
Ci-dessous la tombe d’un soldat ukrainien (BCY) « inconnu ».
Et maintenant ils violent les tombes pour trouver des "preuves" des "crimes" russes...
Addendum
Parmi les tombes d'Izioum il y a celle du major ukrainien Alexeï Kovalenko, tué le 10 avril à bord de son avion de chasse. L'armée de Lougansk a voulu donner le corps à ses proches, mais en raison des menaces du SBU à l'encontre de la famille du pilote, les négociations ont échoué et la dépouille a dû être enterrée. Ce n'est évidemment pas le seul cas.
Commentaires
Merci de démonter les machinations des monstres de Kiev que nos merdias relayent diaboliquement, sachant que tout est faux.
Ils savaient que la comédie pandémique était fausse, ils savent que l'hystérie réchauffiste est fausse. Ils veulent la dictature mondiale, c'est clair.
Les fils du mensonge.
Les fils et les pères. Et aussi les frères, les sœurs, les oncles, et surtout les tantes.
Ben, disons que le poste de père du mensonge est déjà pris, mais le fils peut faire un coup d'oedipe et flinguer le père pour prendre sa place. On n'a pas encore tout vu.
Dommage de ne jamais citer vos sources et rédiger des titres à la généralité qui n'évoque rien.
https://alawata-rebellion.blogspot.com/2022/09/le-paroxysme-dune-outrance-mensongere.html
Le lien vers Twitter est intéressant. Son auteur affirme que si les autorités ukrainiennes s'opposent à ce que les familles récupèrent leur morts, c'est pour les soldats concernés soient toujours considérés comme "disparus". Alors qu'un statut officiel de "décédé" donnerait lieu au versement d'une pension ou d'une indemnité.
Si cela s'avérait vrai, ce serait vraiment à vomir.