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Hongrie

Le ministre hongrois de l’Intérieur a signé lundi un décret qui oblige les médecins à fournir aux femmes qui veulent un avortement « une indication clairement identifiable de signes de vie fœtale ».

C’est la première modification de la loi sur l’avortement, qui date de l’ère communiste, alors que la nouvelle Constitution précise que la Hongrie défend « la vie du fœtus dès sa conception ».

Le décret ne le précise pas, mais l’indication en question est manifestement le « premier battement de cœur », qui se trouve dans nombre de lois américaines restreignant l’avortement.

Le Mouvement Notre Patrie, qui portait cette revendication (6 députés depuis les dernières élections), s'est réjoui que « les mamans écouteront désormais le rythme cardiaque fœtal » avant de prendre leur décision.

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