Dans la synthèse de la contribution des « catholiques de l’Anjou » au synode sur la synodalité, on lit notamment ceci (qui va encore énerver le saint-père) :
Parmi les freins, les contributions évoquent également en nombre les tensions qui règnent entre les différents courants spirituels. En grande majorité, les équipes regrettent les postures perçues comme « traditionnalistes », signe pour elles « d’un retour en arrière », d’un « repli identitaire ». Certains vont jusqu’à craindre un schisme.
À noter aussi deux préoccupations récurrentes. Les jeunes, d’abord : ils ont du mal à trouver leur place. « Leur absence est un message ». Certains remarquent que des jeunes sont plutôt attirés par des « pratiques d’avant-concile ».
Autre obstacle majoritairement cité : les divergences entre les différentes sensibilités religieuses, qui entravent le dialogue. De nombreuses contributions évoquent des tensions au sein des paroisses, entre la « génération Vatican II » et un courant spirituel qualifié généralement de « traditionnaliste », porté par des prêtres plus jeunes et des communautés nouvelles. Ces tensions génèrent des crispations, en particulier autour de la liturgie (« trop d’encens, d’ornements liturgiques », « filles exclues du service d’autel »). Les équipes s’interrogent : comment « faire famille » dans ces conditions ?
Commentaires
J'ai la réponse à la dernière question : attendre que la génération Vatican II, en général sans postérité catholique, disparaisse , ce qui ne devrait plus trop tarder... ;)
Il y aura alors une certaine homogénéité !
Ouaf, ouaf...
""comment « faire famille »" Bonne question: en revenant à la famille homme-femme-enfants (la Tradition) plutôt qu'aux familles bancales: 2 PD, 1PD+1trans, 2 trans, 2 bi, 1bi 1 hétéro, etc etc, etc, avec ou sans PMA, GPA (les lustucrus progressistes.).
Comme s'il fallait constamment "changer" alors que le but de la vie c'est de garder ce qui est beau , juste et vrai et balancer toutes les utopies hystériques. Ils veulent tout sauf la Tradition et ils vont en crever.
C'est par le portefeuille qu'on les aura....
Entièrement d'accord avec Dauphin !
Il n'y a que deux options : soit on exclut les filles du service d'autel, soit on se retrouve avec une équipe de bonnes femmes qui s'occupent de tout. Dans ce cas-là, il vaut mieux choisir quelques bonnes sœurs ou vieilles dames raisonnables, sinon on a tôt fait d'avoir des putes à demi nues pour distribuer la communion. Quand elles ne s'occupent de catéchiser les enfants entre deux soirées "pyjama". J'ai eu le cas avec ma cadette il y a douze ou quatorze ans : première leçon de caté avec une bobo échangiste qui venait chercher sa fille à l'école en petite culotte. Ma fille (quatre ou cinq ans) rentre de l'école où elle avait eu sa première leçon de catéchisme : "Papa, la dame à poil nous a dit que l'enfer n'existe pas."
Super ! On en redemande !
Appel à peine voilé à intensifier le lynchage ou "épuration ethnique" à l'œuvre dans l'Eglise depuis 50 ans
"Certains remarquent que des jeunes sont plutôt attirés par des « pratiques d’avant-concile »".
C'est pour montrer qu'ils sont au courant, vous ne croyez pas ? Les jeunes qui vont à la messe, c'est une question de conviction, de pratique et de rigueur chez les parents. J'ajouterais de prière et de grâce. Et voilà bien un domaine où il ne faut pas se vanter de nos réussites sous prétexte que nos enfants continuent de pratiquer, quelle que soit la paroisse ou le rite !
Si vous avez mon âge (57 ans) et que vos enfants continuent de pratiquer, bien que vous et la société leur ayez donné un si déplorable exemple, c'est une grâce insigne, même si vos enfants préfèrent le curé libéral et moderne.
Il y a quelque aïeul ou aïeule qui vous aimait et prie pour vous et pour les vôtres là-haut.
J'ai lu le document dans son ensemble... Si c'est ça leur église, je la leur laisse ! beurk !!!