Spíritus, ubi vult, spirat : et vocem eius audis, allelúia, allelúia : sed nescis, unde véniat aut quo vadat, allelúia, allelúia, allelúia.
L’Esprit souffle où il veut ; et on entend sa voix, alléluia, alléluia, mais tu ne sais ni d’où il vient, ni où il va, alléluia, alléluia, alléluia.
Le dernier chant du temps pascal, avec 1+3 alléluias, pour la route qui va être longue, mais l’Esprit nous cherche, comme le montrent les sinuosités de « quo vadat ».
Par les moniales d’Argentan.