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Ce géopoliticien a raison d'écarter d'un revers de main la thèse d'un Poutine qui rêverait de reconstituer le Pacte de Varsovie, et il a raison aussi de souligner la responsabilité des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de l'expansion de l'OTAN dans le déclenchement de cette guerre.
C'est un premier niveau d'interprétation du conflit qui devrait logiquement nous porter à l'optimisme. Des négociations conduites avec de la bonne volonté de part et d'autre devraient permettre de mettre fin aux hostilités tout en préservant les intérêts russes sans heurter frontalement ceux des Etats-Unis.
Ce n'est pourtant pas le scénario le plus probable. Depuis trente ans, l'OTAN heurte frontalement les intérêts russes. Ce n'était pourtant pas l'intérêt des Etats-Unis de mettre en place les conditions d'un conflit ouvert. Et ce n'était pas l'intérêt des Russes d'ouvrir les hostilités.
De qui est-ce l'intérêt ? On pourrait soutenir que l'Ukraine, à cause des Khazars, est considérée par les juifs comme une sorte de second Israël ou encore que l'action des Russes au Moyen-Orient contrarie les projets de Grand Israël. Je ne suis pas sûr que ce soit très satisfaisant intellectuellement. Lors des phases successives d'expansion de l'OTAN, la Russie n'était pas en mesure de contrarier les projets israéliens ; et dans ce conflit, encourager l'Ukraine à résister à mains nues à l'envahisseur n'est pas rendre service à l'Ukraine. Mais BHL a sûrement des éléments de réponse ; et les oligarques qui veulent une Terre peuplée de moins de 500 millions d'habitants doivent en savoir encore plus long que Kassovitz sur cette question...
Commentaires
Très intéressant.
Ce géopoliticien a raison d'écarter d'un revers de main la thèse d'un Poutine qui rêverait de reconstituer le Pacte de Varsovie, et il a raison aussi de souligner la responsabilité des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de l'expansion de l'OTAN dans le déclenchement de cette guerre.
C'est un premier niveau d'interprétation du conflit qui devrait logiquement nous porter à l'optimisme. Des négociations conduites avec de la bonne volonté de part et d'autre devraient permettre de mettre fin aux hostilités tout en préservant les intérêts russes sans heurter frontalement ceux des Etats-Unis.
Ce n'est pourtant pas le scénario le plus probable. Depuis trente ans, l'OTAN heurte frontalement les intérêts russes. Ce n'était pourtant pas l'intérêt des Etats-Unis de mettre en place les conditions d'un conflit ouvert. Et ce n'était pas l'intérêt des Russes d'ouvrir les hostilités.
De qui est-ce l'intérêt ? On pourrait soutenir que l'Ukraine, à cause des Khazars, est considérée par les juifs comme une sorte de second Israël ou encore que l'action des Russes au Moyen-Orient contrarie les projets de Grand Israël. Je ne suis pas sûr que ce soit très satisfaisant intellectuellement. Lors des phases successives d'expansion de l'OTAN, la Russie n'était pas en mesure de contrarier les projets israéliens ; et dans ce conflit, encourager l'Ukraine à résister à mains nues à l'envahisseur n'est pas rendre service à l'Ukraine. Mais BHL a sûrement des éléments de réponse ; et les oligarques qui veulent une Terre peuplée de moins de 500 millions d'habitants doivent en savoir encore plus long que Kassovitz sur cette question...