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Mardi de la deuxième semaine de carême

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Eglise Saint-Nicolas de Valkenswaard (Pays-Bas).

℟. Dum exíret Jacob de terra sua, vidit glóriam Dei, et ait : Quam terríbilis est locus iste ! * Non est hic áliud, nisi domus Dei, et porta cæli.
. Vere Deus est in loco isto, et ego nesciébam.
℟. Non est hic áliud, nisi domus Dei, et porta cæli.

Tandis que Jacob s’en allait de son pays, il vit la gloire de Dieu et dit : Qu’il est terrible ce lieu-ci ! Ce n’est autre chose que la maison de Dieu et la porte du ciel. Vraiment Dieu est en ce lieu, et je ne le savais pas.

Le texte de ce répons des matines est issu des mêmes versets que celui que je citais hier. C’est après s’être exclamé ainsi que Jacob fait de la pierre qui lui avait servi d’oreiller une stèle qu’il oint d’huile. Le répons d’hier en faisait un autel de pierres. Et ce verset est devenu central dans la liturgie de la dédicace de l’église. C’est l’introït de la messe. (Il se trouve que la fête de la dédicace de la cathédrale de mon diocèse c’est jeudi prochain.)

Terríbilis est locus iste : hic domus Dei est et porta cæli : et vocábitur aula Dei.
(Psaume 83) Quam dilécta tabernácula tua, Dómine virtútum ! concupíscit, et déficit ánima mea in átria Dómini. Glória Patri.

Ce lieu est redoutable : c'est ici la demeure de Dieu et la porte du ciel; on l'appellera la maison de Dieu.

Par les maîtres de chœur en concert à Fontevraud en juillet 1991 sous la direction de dom Le Feuvre.


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