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Fratelli vaticani

François a institué une Fondation Fratelli Tutti au Vatican, afin, dit-il, « d’encourager les initiatives liées à la spiritualité, à l’art, à l’éducation et au dialogue avec le monde, autour de la Basilique Saint-Pierre et dans l’étreinte de sa colonnade ».

C’est une initiative du cardinal Mauro Gambetti, archiprêtre de la basilique saint-Pierre, qui en est nommé président. (C’est lui qui a récemment interdit les messes non concélébrées dans la basilique.)

Les dix objectifs de la Fondation ont l’air d’être le fruit d’un pipotron de la pensée unique sans Dieu. Qu’on en juge par le seul point  6 : la Fontation Fratelli Tutti « nourrit les initiatives visant à favoriser le développement d’un humanisme fraternel, à travers la promotion des principes de liberté, d’égalité et de fraternité, conditions pour construire un “amour universel” qui reconnaît et protège la dignité des personnes »… (Euh… non, il paraît que ce n’est pas un document de la Grande Loge de France…)

Commentaires

  • Est ce un Français qui a écrit ce document ?

  • Un tête rédigé par un Français ?

  • On a l'impression de lire le commentaire inspiré à une IPR spartakiste par les instructions officielles de l'Education nationale : "formation holistique, parcours, événements, expériences, dimension personnelle, dimension sociale". C'est creux, c'est vide, c'est con, ça vient du néant fumeux de cerveaux enténébrés, ça n'a rien de chrétien ni rien à dire sur l'art, c'est désincarné, c'est minable, nul, et surtout quelconque et vulgaire. On dirait le discours d'une gauchiste féministe mal baisée.
    Le sel de François n'est bon ni pour la terre ni pour le fumier. Qu'on le brûle !

  • "assume, dans l’étreinte symbolique de la colonnade de la basilique Saint-Pierre, les personnes les plus faibles, l’étranger et le marginal, les frontières culturelles et sociales, pour relire les souffrances du monde et proposer des solutions à la lumière de l’Évangile et du Magistère pontifical."
    La seule image de ce pensum n'est pas de leur fait mais de Bernin. L'étranger, on connaît, et le marginal, suivez mon regard : il porte plume dans le cul, laisse, muselière, défile dans les rues avec un déguisement que personne n'oserait porter au carnaval de Dunkerque, et peut désormais faire fabriquer ses enfants en Inde ou au Bangladesh.
    La fin choque un peu par la mention d'un truc aussi vétuste que l'Evangile. Ils auraient dû écrire "pontificaux", ou alors "à la lumière du magistère pontifical et de son évangile" (qui se démarque un tout petit peu de celui du Christ).

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