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Une lettre de Benoît XVI

Le cardinal Pell était invité hier au Sénat italien par une élue de Forza Italia à présenter le premier tome en italien de son Journal de prison.

Il a révélé que l’auteur d’une lettre dont il cite le texte était Benoît XVI (ce qu’il ne dit pas dans le livre parce qu’elle lui est parvenue en photocopie non signée).

Voici ce que disait le pape émérite :

« Dans ce moment difficile, depuis le début, je suis resté proche de vous avec mes prières et mon soutien spirituel (…). Vous avez aidé l’Église catholique en Australie à sortir d’un libéralisme destructeur, en la guidant à nouveau vers la profondeur et la beauté de la foi catholique… Je crains que vous ne deviez maintenant payer pour votre catholicisme inébranlable, mais vous serez ainsi très proche du Seigneur. »

Commentaires

  • Merci beaucoup

  • Lettre sans signature probablement pour que la censure de la prison ne la détruise pas.
    Ce n'est pas Bergoglio qui aurait écrit cela, il voulait la peau du cardinal Pell.
    Et pour quoi on ne parle plus de sommes allouées par Becciu à la presse australienne pour charger Pell?
    Et les faux témoins? L'un est mort et a avoué avant de mourir, l'autre est resté anonyme et n'a pas été inquiété. C'est un coup monté avec complicités mondiales. La justice australienne pourrie s'est rachetée "in extremis", après 404 jours de prison pour un innocent.
    En France pour une pancarte qui n'a rien d'antisémite on prend 6 mois avec sursis et 9700 € de dépens. Dire d'un truand qu'il est un truand, s'il est juif, c'est de l'antisémitisme. Conséquence tout juif peut être un truand impunément.

  • Cela veut dire que Benoît XVI affirme que le cardinal Pell a été accusé de viols de mineurs, accusation diffamante et à porter à vie, parce qu'il avait remis de l'ordre dans l'église australienne?
    Est-ce que le rapport Sauvé n'aurait pas été demandé à des personnes étrangères et hostiles à la doctrine catholique pour permettre de bouleverser la doctrine morale et la discipline du clergé.?
    C'est à dire exactement le contraire que la logique des crimes pédérastiques ou pédophiles aurait du inspirer, à savoir aller aux causes pour les tarir.
    Au lieu de ça, c'est toute l'Eglise et sa morale qui sont mis en cause alors justement que ces scandales n'auraient jamais eu lieu s'ils avaient été respectés par les accusés.
    Et l'épiscopat n'a émis aucune réserve à l'inflation pseudo statistique permettant d'accabler l'Eglise pour des crimes réels mais aussi d'autres sans preuve et peut-être même imaginaires.
    Nous vivons une époque de mensonge, d'inversion et de martyre. Et malheureusement notre épiscopat contribue à cette persécution en cautionnant des mensonges et en n'envisageant pas de tarir définitivement l'accession d'hommes immatures affectivement ou psychologiquement instables au sacerdoce.
    Tout cela remonte aux années 50 ou le modernisme et le progressisme remettaient activement en cause la discipline éclésiastique et la morale catholique.

  • Una cosa su cui la Santa Madre Chiesa dovrebbe lavorare molto? La fine del ripetersi di battaglie all'ultimo sangue, umano, per chi vuole comandare, dirigere, superare gli altri.
    Ci sono tanti modelli negativi della storia. Chi li studia, rischia di volerli imitare di nuovo nel tempo presente e futuro.

  • Le rapport Sauvé est tellement prolixe qu'aucun évêque ou prêtre n'est en mesure de dire s'il dit vrai ou s'il exagère la dimension du problème. L'Eglise est engloutie sous une avalanche de pages et ne peut qu'accepter la condamnation, sous peine d'être accusée de continuer l'omerta. C'est là toute l'astuce du rapport : désarmer complètement l'Eglise.

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