Viktor Orbán annonce qu’il va organiser un référendum sur la loi de protection des mineurs qui interdit notamment toute propagande LGBT auprès des enfants, et qui fait l’objet d’une « procédure d’infraction » de la part de la Commission européenne. Il a déclaré dans une vidéo :
« Ces dernières semaines, Bruxelles a clairement attaqué la Hongrie au sujet de sa loi sur la protection de l’enfance. Les lois hongroises ne permettent pas la propagande sexuelle dans les jardins d’enfants, les écoles, à la télévision et dans les publicités. L’avenir de nos enfants est en jeu, nous ne pouvons donc pas céder du terrain sur cette question. »
Le référendum, a-t-il précisé, comportera cinq questions :
— Êtes-vous favorable à la tenue d’activités présentant des orientations sexuelles à des enfants mineurs dans un établissement d’enseignement public sans le consentement des parents ?
— Êtes-vous favorable à la promotion du changement de sexe pour les enfants mineurs ?
— Êtes-vous favorable à la possibilité de changement de sexe pour les enfants mineurs ?
— Êtes-vous favorable à la présentation aux mineurs, sans restriction, de contenus à caractère sexuel susceptibles d’affecter leur développement ?
— Êtes-vous favorable à la présentation aux mineurs, sans restriction, de contenus illustrant le changement de sexe ?
Il a ajouté :
« Je vous demande de dire “non” à toutes ces questions, comme nous avons dit “non” il y a cinq ans lorsque Bruxelles voulait forcer les immigrants vers la Hongrie : un référendum et la volonté commune du peuple ont arrêté Bruxelles. Nous avons réussi une fois, et ensemble nous réussirons encore. »
Viktor Orbán est assuré d’avoir une réponse sans équivoque à ce référendum, qui sera une claque de plus à la dictature LGBT européenne.
Commentaires
C'est le mystère de la langue française, son charme, sa poésie, sa sensualité, sa violence racée, mais il y avait un dynamisme, une efficacité, un éclat, un "peps", dans "on contre-attaque" qui s'est perdu dans "on contrattaque".
qui se sont perdus... Mais Saint-Simon aurait écrit sans hésiter "qui s'est perdu".
Relisez cette note du 8 mai 2017: https://reseauinternational.net/avons-nous-elu-un-fou/