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L’autre dictature

Pendant que la dictature soi-disant sanitaire se renforce, l’autre dicature, celle des idéologies de la culture de mort, ne chôme pas.

La Commission européenne nous informe qu’elle a lancé ce jour des « procédures d’infraction » contre la Hongrie, concernant la loi de protection des mineurs qui interdit la propagande LGBT auprès des mineurs, et contre la Pologne parce que certaines collectivités locales ont proclamé leur territoire « zone sans LGBT ».

Les deux gouvernements ont deux mois pour répondre.

Je ne vois pas ce qu’ils peuvent répondre en dehors de « Allez vous faire foutre », puisqu’il n’y a là absolument rien qui contrevienne aux traités européens.

L'objectif de la tyrannie bruxelloise est de mettre aux pas tous ceux qui veulent encore respecter un tant soit peu la loi morale naturelle. Le résultat sera qu'au contraire ces pays quitteront l'UE. Et feront bien.

La véritable information importante est qu'hier le Tribunal constitutionnel polonais a statué que les décisions de la Cour européenne à l’encontre des réformes judiciaires polonaises ne sont « pas conformes » à la Constitution polonaise. En bref, la Constitution polonaise prime le droit européen. Ce qui est un crime anti-UE, car le dogme est que le droit européen prime le droit national y compris constitutionnel (c'est en quoi il n'y a plus de souverainetés nationales). La Commission européenne, rappelant le dogme, s'est immédiatement déclarée "très préoccupée", et Donald Tusk a accusé le PiS de "quitter l'UE"...

Il s'agit en effet de ce qui pourrait être le premier acte du "Polexit". (Encore que le dogme de la primauté juridique de l'UE ne figure pas dans les traités.)

Commentaires

  • Après avoir perdu de nombreuses élections de suite depuis 6 ans (2 présidentielles et 2 législatives), les euro-dingos polonais ont un plan très simple et concerté avec leurs amis au sommet des institutions de l’UE : réussir à reprendre le pouvoir grâce à un série de menaces, sanctions et chantages. C’est au moment où ces attaques s’intensifient que Tusk est revenu sur la scène politique polonaise.

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