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Ils sont 296

296 députés ont écrit au Premier ministre pour lui demander d’inscrire à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la proposition de loi sur l’euthanasie euthanasiée le 8 avril par un quarteron de députés qui n’en voulaient pas.

296, c’est la majorité absolue.

Ce n’est pas une surprise, dans la mesure où l’article 1 de la proposition de loi avait été adopté le 8 avril, avant que le reste soit abandonné faute de pouvoir examiner dans la journée les 2.618 amendements proposés par… 10 députés.

Mais que 296 députés insistent ainsi pour qu’on tue les malades et les vieux, et en ces temps de soi-disant « pandémie », et alors que l’euthanasie est en fait déjà légale sous un autre nom, cela montre à quel degré de barbarie on est tombé.

Commentaires

  • je ne vois pas ce que cela a de surprenant
    notre président, dont on oublie géanéralement qu'il est un ancien ministre socialiste, même s'il aime une vieille, a déjà montré qu'il n'aime pas les vieux
    il s'est constitué à l'assemblée nationale une majorité de gens incompétents qui marchent au sifflet faute d'avoir des idées personnelles
    nous nous retrouvons dans la situation que nous avons connue au plus fort de la dictature de Charles De Gaulle où !e Sénat était devenu le défenseur des libertés publiques; le Conseil d'Etat, qui à l'époque avait su se montrer défenseur de ces libertés, semble s'être évanoui (solidarité entre énarques, sans doute)
    quant aux libertés, même la plus élémentaire, celle de vivre, nous voyons tous les jours ce que notre gouvernement en fait

  • la dictature de Charles de Gaulle, voyez vous ça... Ah c'est sûr quand la France était allemande sous Pétain, on était libre...

    Théofrède confirme par ce simplisme qu'il est vraiment une triple buse.

    Arrêtez de gémir, nous allons sortir de l'état d'urgence sanitaire et vous allez comme avant pouvoir continuer à utiliser les blogs comme des vommissoirs conceptuels et pourrez continuer à raconter n'importe quoi sans être inquiété.

    1984 on y est pas

  • On juge l'arbre à ses fruits. Alors le mythe du général de Gaulle en sauveur... Macron est son dernier rejeton.
    En revanche, vous avez raison sur un point : ils ne s'appréciaient guère avec Pétain, et plus on encense celui-là, plus on se croit tenu de dénigrer le maréchal. Si vous allez dans le Vercors visiter l'affreux bunker appelé Mémorial de la Résistance et si vous avez deux ou trois notions d'histoire, vous verrez jusqu'où cela peut aller. J'y ai d'ailleurs appris que les réfractaires au STO y menaient la belle vie, en pleine nature, à se taper des steaks comac', pendant que le plouc moyen bouffait du saindoux de rationnement.
    Si vous cherchez Jeanne d'Arc, ce fut plutôt Pétain.

  • Macron qui a déclaré le 14 avril à Roula Khalaf, rédactrice en chef du « Financial Times »: "La Bête est là, la Bête arrive."
    S'il avait su parler français, il aurait dû dire : "La Bête arrive, la Bête est là." Mais en fait, il y a deux bêtes : la première, c'est lui, et il est déjà là ; la seconde, à mon avis, c'est le vaccin (et ses conséquences).

  • ce n"est rien, juste un gaullo-macronien moyen

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