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Une petite bonne nouvelle… espagnole

Le parti populaire de la région de Madrid en avait assez de sa collaboration avec les centristes. Il a donc provoqué des élections anticipées. Malgré la « pandémie », la participation a été de 76% (12 points de plus qu’en 2019).

Le parti populaire, emmené par Isabel Diaz Ayuso, la présidente sortante, qui a fait une campagne anti-socialiste réellement de droite, a obtenu 44,7% des voix, faisant passer le nombre de ses représentants à l'Assemblée de Madrid de 30 à… 65. Le parti centriste est éliminé, et le parti socialiste au pouvoir sur le plan national, avec 24 sièges, en perd 13.

Deux choses à noter :

1. Isabel Diaz Ayuso, qui avait déjà le soutien de Vox, va avoir la majorité absolue avec « l’extrême droite » (13 sièges), et la dénonciation lancinante d’une telle épouvantable perspective par les socialistes a donc fait flop.

2. Isabel Diaz Ayuso s’était opposée à toutes les mesures restrictives imposées à cause de la « pandémie ». On ne sait pas si cela a été un motif de son énorme succès, en tout cas ça ne l’a pas desservie.

 

Addendum. Selon EUobserver, "Isabel Diaz Ayuso est devenue un phénomène politique principalement en raison de son succès à garder Madrid ouverte pendant les pires moments de la pandémie".

Commentaires

  • ¡Ole!

  • Le succès d'Isabel ne vient pas, je le crains, de son programme anti-socialiste (les mêmes Espagnols ont mis au pouvoir Pedro Sanchez, et bien avant nous accepté, sans broncher, les diktats LGBT, PMA, etc), mais du fait qu'elle a libéré les bistros. Les bistrotiers ont toujours été d'extraordinaires agents électoraux.

  • ce succés ne vient que de l'amour des Espagnols pour leurs libertés, une de leurs principales caractéristiques, qui leur a fait chasser les Musulmans, pus être les premiers à vaincre Bonaparte, qui ne l'a pas été par une armée mais par une révolte populaire, plus récemment à vaincre les communistes, même si cela leur a coûté trés cher
    les Français ne semblent pas partager ce caractère et je trouve répugnant ce besoin, trés français, de mépriser les Espagnols, même en les traitant d'ivrognes, comme le fait "g marie"

  • Relisez. C'est vous l'ivrogne. Je n'ai jamais traité d'ivrognes ni les Espagnols ni les bistrotiers. Vous me cherchez une querelle d'Allemands (ah ! qu'ai-de dit là ?...).

  • je ne cherche pas de querelle avec un individu méprisable, je constate simplement que vous calomniez, ce qui n'est pas une vertu chrétienne
    en plus, vous me traitez d'ivrogne, trés chrétiennement là aussi
    je tiens quand même à vous préciser, puisque vous ne semblez pas le savoir, que Pedro Sanchez n'a jamais été maire de Madrid ou président de l'autonomie qu'elle constitue, mais seulement président de l'Espagne qui se compose de dix sept autonomies, et doit pour cela être présenté par le roi et éku par les Cortes qui ne semblent pas l'avoir fait de bon coeur

  • Moi aussi, j'ai une nouvelle petite bonne espagnole :
    https://www.jemepropose.com/annonces/menage/femme-de-menage+640831/

  • Fake news.

    Elle est portugaise.

  • le démon est le père du mensonge; on doit donc supposer qu'il fait profiter ses suppôts de ses dons

  • "Elle est portugaise."
    C'est vrai, et en plus elle a un délicieux petit accent.

  • l'essentiel est quand même que les Madrilènes peuvent vivre normalement dans une ville normale où les commerces sont ouverts et où il n'y a pas de couvre-feu
    je suppose que notre président chef des armées nourrit les complexes de tous ceux qui n'ont pas fait de service militaire et imite ce qu'il imagine être la discipline militaire

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