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Bergogole

La Civiltà Cattolica, revue jésuite qui dans tous ses numéros chante les louanges de saint Bergoglio, a ouvert son dernier numéro avec un texte fabuleux qui, nous dit Sandro Magister, « remonte aux années 1987-88 et coïncide avec l’apogée du parcours intellectuel du jésuite argentin qui est aujourd’hui pape ».

Extrait :

« Prenez quatre éléments : pour apprendre la réalité, il y a le concept et l’intuition et pour expliquer la réalité il y a les deux termes d’une antinomie. Ces quatre éléments entrent en tension entre eux. Nous ne pouvons pas dire que le signe de l’adéquation soit l’équilibre entre la réalité et le fait de la percevoir. Nous devons chercher un signe qui, en lui-même, renferme la tension des quatre éléments. À mon sens, ce signe est la consonance. »

« La consonance dont le sujet qui connaît a l’expérience en lui-même est, dans ce cas, le reflet de la consonance qu’il y a entre la réalité en soi et la réalité connue. Je m’explique : celui qui connaît a une expérience directe de la consonance qu’il y a entre ce qu’il apprend et ce qu’il exprime. Sur base d’une telle consonance, il peut savoir quand on donne la consonance entre la réalité en elle-même et la réalité apprise. »

« Saint Ignace utilise cette expérience pour s’assurer du fait qu’un esprit soit bon ou mauvais : la consonance figurée par l’eau qui tombe sur une éponge plutôt que sur la pierre. C’est une consonance ambivalente pour ce qui se réfère à l’identité des esprits, parce qu’il faut prendre son signe positif ou négatif de l’état habituel du sujet, qui soit monte du bien vers le mieux ou qui tombe de mal en pis ».

L’article de Sandro Magister est centré sur le pape qui passe son temps à se contredire lui-même. Mais là il aurait du mal à se contredire…

Commentaires

  • La grotesque dissertation compilatoire d'un vieil étudiant "seventies" qui a mal digéré ses bouquins.
    Si Benoît XVI a quelque chance de tomber sur ça, il doit rigoler.

  • je crois qu'il faut commencer à franchir le pas : ou vous considérez que l'intéressé n'est pas Pape ou vous arrêtez de l'insulter (sans pour autant de cesser de le critiquer bien sûr). Mais s'il est Pape, non d'une pipe, un minimum de respect filial.

  • Là n'est pas la question : cette adulation des écrits du monarque par la gazette du Parti n'a pas d'équivalent depuis les recensions dans la presse roumaine des années 70 des multiples thèses de doctorat et articles "scientifiques" d"Elena Ceaucescu.

  • je parlais du titre du post bien sûr. Pour le reste encore une fois on peut considérer que cette soupe indigente, oeuvre au demeurant de quelqu'un qui n'était alors pas Pontife suprême de l'Eglise universelle, vaut pas loin de zéro...

  • ce ne serait pas la première fois qu'un pape aurait dit des bêtises : l'Eglise a connu ça dès le Moyen Age avec les rêveries de Jean XXII, à mon avis beaucoup plus graves

  • Mon cher, la croisade des pastoureaux, c'était quand même sympa. On s'en referait bien une. C'est d'ailleurs de là que vient le surnom yiddish de Jean XXII : Jean XXII Vlaléflikh (bien que ce grand Pape avignonnais n'eût point d'origines slaves).

  • Le Vatican a un phénomène au logis.
    "la consonance figurée par l’eau qui tombe sur une éponge plutôt que sur la pierre."
    "Si l’œuf tombe sur la pierre, malheur à l’œuf ; si la pierre tombe sur l’œuf, malheur à l’œuf." Le Christ a dit a peu près la même chose que Lao Tseu. Et le Christ, c'est Lui la pierre. Malheur à l’œuf Bergoglio.

  • La lecture de Saint Ignace me suffit.

  • Je comprends maintenant pourquoi il parle par geste visuel et jet de phrase. La syntaxe est à revoir dans sa tête. Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément.
    Mais, personnellement, je le plein, faire tout ce charabia pour se faire valoir intellectuellement montre qu’il a un souci face à son narcissisme.
    Tout le monde n’est pas Saint Thomas D’Aquin ou Saint Augustin.
    N. B. Il n’a pas envisagé la consonance de l’eau qui s’évapore, car c’est le futur de ses paroles cela.

  • Je comprends maintenant pourquoi il parle par geste visuel et jet de phrase. La syntaxe est à revoir dans sa tête. Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément.
    Mais, personnellement, je le plein, faire tout ce charabia pour se faire valoir intellectuellement montre qu’il a un souci face à son narcissisme.
    Tout le monde n’est pas Saint Thomas D’Aquin ou Saint Augustin.
    N. B. Il n’a pas envisagé la consonance de l’eau qui s’évapore, car c’est le futur de ses paroles cela.

  • SORRY

  • "Il n’a pas envisagé la consonance de l’eau qui s’évapore"
    Il n'a pas dit ça. On ne peut pas faire grand-chose avec la philosophie post-kantienne, et sûrement rien avec Bergson, la phénoménologie ou l'existentialisme. Ce n'est par pour les mêmes raisons qui nous conduisent à rejeter Nietzsche ou Hegel, c'est parce que c'est bête.

  • La première bêtise, c'est de foutre un nom sur la philosophie, de se rattacher à une école et de défendre une approche. Un philosophe, c'est quelqu'un de libre, de ses ennemis, comme de ses amis. Bergson détestait Kant, mais il ne lui est jamais arrivé à la cheville.

  • Je me souviens d'un jésuite aumônier du pélerinage de Chartres des étudiants à qui ceux-ci avaient proposé de m'inviter à faire une conférence sur un sujet que je connaissais bien. il avait du prendre ses renseignements et apprendre que je n'étais pas libéral, du genre qui veut faire un juste équilibre entre la vérité et l'erreur. Aussi, en m'appelant pour me proposer cette invitation demandée par ses jeunes, il m'a baratiné deux heures d'horloge pour essayer de me convaincre que la tradition était surfaite, ou je ne sais quoi à propos de l'accident et de l'essence de l'eucharistie, car j'avoue ne pas avoir tout saisi.
    Au bout du compte, il m'a donc invité, mais avant que je parle, il a tenu à préciser qu'il n'était pas d'accord avec tout ce que j'allais dire. La grande classe et je ne me suis pas gêné de lui renvoyer une vanne au début de mon topo.
    Résultat des courses, il y avait DEUX étudiantes, une d'extrême gauche avec laquelle j'ai appris plus tard qu'il avait une relation et une autre protestante, et c'est pour ces deux personnes qu'il s'était quasiment excusé de m'inviter pour satisfaire tous les autres.
    Un de ces étudiants m'a appris plus tard qu'il avait quitté le sacerdoce pour se mettre en ménage.
    Il y a des prêtres jésuites dignes de leur sacerdoce et de leur ordre, mais il y a aussi des électrons libres qu'aucune règle, aucune autorité, ne parvient à stabiliser.

  • Robbie,

    Votre aventure avec deux étudiantes me rappelle bien sûr Orange mécanique de Stankey Lubrick, mais aussi un soir où, dans un bar de nuit caennais, j"ai rencontré deux étudiantes ravissantes sur lesquelles je fantasmais depuis longtemps. Je leur ai proposé un truc sympa, avec des instruments que devait nous apporter la grand-mère de Théo, mais je me suis pris deux baffes.

  • pourquoi incriminer les Jésuites sous prétexte que ce fut l'ordre du pape actuel ?
    j'ai été leur élève, à Lyon, rue Sainte Hélène, de la 5ième à la seconde, et n'ai jamais eu à m'en plaindre, sauf quand un nouveau recteur me mit dehors pour raison financière avec presque toute ma classe
    je me suis retrouvé au lycée Ampère avec toute cette classe ou presque (il y avait dedans le frère d'un des bons pères) et ai eu à faire avec l'aumonier du lycée, prêtre séculier qui écrivait assez souvent dans Le Monde; il commença par refuser mon prénom, qu'il trouvait trop bourgeois, et était en fait trop breton, et me rebaptisa Henri
    je me méfiais quand même : un jour il nous fit la lecture d'un article, fort stupide il est vrai, paru dans un journal lyonnais aprés la création des congés payés; je me suis bien gardé de lui dire que le journaliste, qui fut membre du Conseil national de Vichy et condamné à la Libération à huit ans de prison, était mon cousin
    j'ai pris ma revanche en amenant à ses "cours" un ami prénommé Stanislas, dont le prénom lui déplut instantanément

  • Je me suis promis de ne pas intervenir ici, mais, ce langage abstrus a un sens. Celui de quelqu'un formé à la rhétorique post-moderne en philosophie. (je ne dis pas à la philosophie, mais à une certaine rhétorique, pour prendre une image, il y a socrate et il y a polos, gorgias ou encore caliclès.)

    le passage que vous citez est une critique de l'adaequatio rei et intellectus, classique définition de la vérité que vous trouvez dans la scolastique par exemple. Ce choix de la consonance pour tenter de traduire le mot d'adéquation incompréhensible sans connaissance de la pensée scolastique est étrange, cela rappelle de loin peut-être hume, avec une coloration linguistique - l'insistance sur le signe - à la mode ? Mais le signe signale mais ne signifie rien en lui-même et en tous les cas rien d'adéquat !
    les quatre éléments choisis pour être significatifs de la compréhension du monde ne sont ni l'eau, ni l'air, ni le feu, ni la terre, mais les éléments de base qui constituent à la conscience la réalité du monde, et ce sont donc des abstractions (par idéalisme philosophique) ni vraiment intérieures ni extérieure à une conscience qui au moins depuis Descartes ne sait pas de prime abord s'il y a une différence entre soi, le rêve et le monde. l'auteur est un moderne, et son "concept" ne s'oppose pas au fait, à l'objectivité d'un réel toujours quelque peu inconnaissable car dépassant toute représentation, tout imaginaire, mais à l'intuition, qui au moins depuis Kant désigne pour ceux qui se piquent de penser, les perceptions sensorielles et leur représentation dans l'esprit. du monde vous ne savez rien que par le truchement des sens qui sont gouvernés par des catégories (filtres, programmes, jamais bien décrits et encore moins définie en détails malgré une littérature qui se veut critique d'une raison pure ) - au passage un lecteur met kant au dessus de bergson, c'est un peu comparer des choux et des charettes, Bergson quant à lui semble comme kant à cent coudées en dessous de saint Thomas, mais au moins, il ne paraît pas donner l'impression selon le mot farfelu de jean-pierre Changeux, d'avoir "penser l'objet pensant", Bergson est un peu moins idéaliste que son prédecesseur et par le fait moralement bien plus humble sur ce point.

    Il m'est avis que le rédacteur aurait eu plus de matière à réflexion s'il avait trouvé dans sa démarche la notion d'analogie pour nous l'expliquer, et encore s'il avait étudié la doctrine néo-thomiste du devenir intentionnel. Tout cela fait plutôt une néotique à la petite semaine.

    Il est de mode de mépriser son adversaire, or il ne faut mépriser personne, car c'est aussi s'interdire les jugements téméraires. Que quelqu'un qui n'a aucune connaissance dans cette langue technique, sophistiquée ( dans tous les sens de l'adjectif d'ailleurs !) trouve que tout cela est du charabia, c'est un fait, mais cela n'enlève rien à la réalité.

    celui qui écrit ces lignes n'est pas un scolastique, ne croit pas à la vérité au sens classique et prosaïque, et tente en post-moderne de trouver sous le ciel des phénomènes indépassables et forcément kantien, des critères pour trier la réalité à défaut de pouvoir l'atteindre et la comprendre. la réalité est une idée comme une autre et les faits sont construits, dans une perception sensorielle toujours tributaire du changement et de catégories qu'elles soient arbitraires ou inscrites de manière innée dans l'esprit de l'homme, qui interdisent de parler de vérité intangibles par définition.

    le premier mot de la philosophie est d'admettre l'évidence de la réalité le second est de définir ce que l'esprit appréhende en se conformant à la chose d'en exprimer par une définition la quiddité, pour un idéaliste, l'évidence reste à démontrer dès lors les définitions ne sauraient être adéquates car l'idée même de chose est problématique, et au mieux on se contente de désigner sans jamais rien circonscrire. pascal plus scientifique aurait parlé de sottise.
    là, toute désignation est provisoire, tout nom arbitraire et tout est abstrait. la seule chose qui saute encore à des yeux aussi myopes, c'est au delà du floue de l'image et du brouillé de couleurs, le changement brusque, le mouvement, certains en font donc une religion, ainsi le marxisme.
    et c'est pourquoi de tels esprits voient le monde en noir et blanc, et croient tout comprendre lorsque leur esprit pour ne pas sombrer tout à fait, veut encore croire, imagine comprendre quoi que ce soit lorsque même dans les ténèbres il perçoit choc, changement, mouvement. comme si le mouvement de l'inconnu ou la lutte enfin vue et crue comme éternelle, expliquait, la morale, la politique, la couleur rouge et l'univers.

    Opposer le changement et l'impermanence des êtres de ce monde pour expliquer que tout est incertain, ce n'est pas comprendre c'est en rêver, ainsi de notre rédacteur.

    le recours à l'antinomie, c'est à dire en langage marxiste à l'opposition dialectique ne laisse pas non plus de rendre perplexe dans cet exposé, cela ne me donne pas une grande opinion sur l'originalité du rédacteur. Sans doute écrit-il là ce que l'on attend de lui ? ou est-il un marxiste convaincu.

    En tous les cas, ce texte n'indique nulle part que son auteur ait en réalité la moindre formation pour juger l'auteur des exercices spirituels. Pour cela il faut une formation en scolastique que ne montre pas cet étudiant. tout dans ce texte n'est pas absolument insensé, mais c'est terriblement prétentieux et absolument verbeux.

    passer d'une 'déconstruction' de la définition de la vérité ( qui ne semble même pas comprise ), à,celle des critères ignaciens pour le discernement des esprits est tout de même assez frivole, et c'est pourtant ce que l'on a fait ici.
    Il est très facile de parler d'une chose comme insensée ou mal comprise, lorsqu'on sort celle-ci de son cadre, bien-plus lorsqu'on le méconnait tout à fait. penser que la philosophie de l'esprit, ou celle de la connaissance commence avec ses propres contemporains ou avec soi tout en parlant en philosophe ou en professeur de philosophie est très moderne, au moins depuis Descartes, cela ne veut pas dire pour autant que cela soit pertinent. saint Ignace ne croit pas que le langage constitue la réalité, que ce soit celui de catégories de l'esprit à la Kant, ou celui des linguistes, mais il est scolastique en ce sens qu'en logicien comme toute personne sortant de l'université en son temps et dans les siècles qui le précède, il ne confond pas les ordres logiques et si sa logique est binaire, elle admet aussi dans sa pensée bien des modalités de considération pour l'objet qu'elle considère. saint Ignace ne confond pas un métaphysicien avec un phénoménologue dans l'éternité qui est la sienne, et à tout le moins un philosophe moderne avec un savant en philosophie naturelle et plus encore un maître en théologie. mais cela demande à l'auteur du texte de savoir ce qu'est la philosophie de l'être, et qu'il existe dans la pensée plus ancienne que la sienne une considération pour la différence des approches et leur conciliation,

    Il y a cette croyance assez irrationnelle chez les post-modernes que leur tradition issue des lumières est la seule et l'unique, tout ce qui précède étant obscur et confus. Saint Ignace n'est pas confus, il est comme l'Eglise catholique en son entièreté, il est réaliste, conceptuel, factuel et logique, comme la définition de la vérité l'illustre et l'exige.

    je souhaite que l'auteur de l'extrait aura eu l'idée de décrire au moins ce qu'il entend par consonance, mais à dire le vrai j'en doute, et le ton et le style ne me donne aucune envie de faire la recherche, les post-modernes ne définissent pas, au mieux ils décrivent, et ici la consonance outil de la description pour le penseur du processus d'élaboration du vrai dans le divers des oppositions dialectiques et contradictoires, semble surtout allusive pour ne pas dire élusive... même sur ce point !

    la rhapsodie, ce n'est pas la pensée surtout lorsqu'on ne semble pas donner l'impression de pouvoir lire du Bossuet.

    je m'étais promis de ne plus commenter ici, c'est la deuxième fois que je le fais pourtant, mais pour le coup, le propos tenu dans cet extrait est trop significatif pour être laissé sans réponse.

    n'oubliez jamais que dans l'Eglise catholique personne n'est détruit et que la vie est éternelle, nous avons donc assez de papes dans les cieux et de mémoires augustes par leurs écrits magistériels ordinaires, pour nous passer de ceux qui n'ont ni l'intention de faire ce que fait l'Eglise depuis le commencement, ni apparemment le bagage intellectuel pour en suivre le sentire cum ecclesia, car au vu de ce qui a été fait depuis l'arrivé de cette personne dans les hautes instances ecclésiastiques rien ne laisse penser qu'il y a eu le moindre progrès sur le plan de la noétique et donc aussi de la réflexion intellectuelle depuis ce texte.

    ce n'est pas du mépris pour l'auteur que de le dire, ce qui est écrit ici est un travail structuré, mais indigent, bricolé, surtout au regard des sujets et des enjeux abordés.

    saint Ignace lui aurait donné un zéro pointé, quant à saint Thomas, il aurait demandé sans doute à l'auteur d'ouvrir la première page de sa somme de théologie et de commencer à étudier.

    on ne peut pas juger de ce que l'on ne comprend même pas, et ne pas accorder à saint Ignace l'intelligence de concepts que l'on confond avec la description de rapports dialectiques n'est pas plus charitable que de considérer que georges bergoglio n'est qu'un rustre, Il y a ici un piège moral et mortel pour la vie de l'âme, dans les deux cas on a l'air en effet, de n'être que malappris, ce qui, bien évidemment n'est certainement pas le cas, ni d'un côté, ni de l'autre.

  • C'est long comme lacune.

  • c'est court comme camouflet.

  • Monsieur,

    lisez ce texte bien imparfait je dois le reconnaître, et n'y voyez pas une attaque personnelle, ce n'est que ma réflexion et j'ai trop de considération pour vous, pour me permettre autre chose.

    j'espère n'avoir pas été assez confus pour ceux qui n'ont pas de formation en philosophie moderne, et une fois ce travail terminé je pense qu'il vous est plus destiné à vous qu'à un autre.

    au reste vous avez sans doute autre chose à faire qu'à lire un hésitant ou une personne dans mon genre,

    je vous avais promis de ne plus écrire ici, alors ne me publiez pas et garder ce texte ou mettez le dans la corbeille pour économiser votre temps, car pour moi votre biller quotidien aussi érudit souvent qu'intéressant n'est pas dans ses commentaires le lieu pour publier autre chose que des texte courts.

    ne publiez rien, merci. il vaut toujours mieux s'en tenir à une promesse que l'on s'est faite dans mon cas présent.

  • Tu la vends chère, ta Beuh ?

  • nécessairement, c'est une deux-boeufs !
    l

  • Monsieur Daoudal,

    Ce n'est pas en raison du court échange avec monsieur ou madame stavrolus, mais je vous demanderai en ayant bien conscience de vous avoir fait perdre votre temps, de bien vouloir supprimer mes derniers envois publiés.

    il m'est souvenu que vous étiez sympathisant pour R.Guénon et moi je ne le suis en aucune façon, il y a un bien grave problème de non catholicité à ce sujet, de plus j'ai plus que des réserves quant au statut de saint qui aura été décerné à plusieurs des pontifes récents dont le statut ou le rôle ne me paraît ni clair ni sûr, et vous considérez certains comme ayant une autorité qui me semble aussi problématique que la situation catastrophique actuelle et passée depuis la mort de Pie XII.

    comme je l'ai écris j'apprécie vos vastes connaissances, et vous lire est très stimulant souvent, mais c'était un erreur de ma part que de revenir publier sur votre blog et c'était je le crois une faute, car je m'étais promis de ne plus le faire et au reste dans un échange précédant je vous l'avais promis.

    croyez bien que vous êtesdans m es prières, mais nous ne sommes pas d'accord sur des choses très importantes même si j'apprécie de nombreux aspects de ce que vous publiez par ici.

    je vous le demande réellement, et cette fois je ne reviendrai pas comme cela. retirer mon commentaire et sa suite,

    merci.

  • Coucou

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