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Lundi de Pâques

Surréxit Dóminus, et appáruit Petro, allelúia.
Le Seigneur est ressuscité et il a apparu à Pierre, alléluia.

L’antienne de communion reprend un propos de la fin de l’évangile du jour : « surrexit Dominus vere et apparuit Simoni ».

Curieusement le « vere » a disparu, comme si à la fin de la troisième messe pascale il n’était plus nécessaire d’insister. L’invitatoire des matines le répète toutefois chaque nuit de cette semaine (et on le trouve dans quelques autres pièces).

Et Simon a été remplacé par Pierre. Parce que c’est son nom d’apôtre. La station romaine est précisément à Saint-Pierre, parce que c’est le premier jour après Pâques et que Pierre a été le premier apôtre à voir le Seigneur ressuscité.

La mélodie paraît commencer comme celle de l’introït de la messe de Pâques, et sur le même mot. Mais c’est une illusion. Hier la mélodie nous établissait dans la plus haute contemplation, alors que celle-ci est un joyeux élan vers le Seigneur qui est vraiment ressuscité puisqu’il a apparu à Pierre (donc pas besoin du « vere »). Et pour le souligner, un long et très bel alléluia qui couvre plus du tiers de la durée.

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Par les moniales d’Argentan sous la direction de dom Gajard, avec le premier verset du psaume 117 et la doxologie :


podcast

Confitemini Domino, quoniam bonus, quoniam in sæculum misericordia ejus.

Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto, sicut erat in principio et nunc et semper et in sæcula sæculorum. Amen.

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