Comme chaque vendredi de carême un bout d'Acathiste: le tropaire final, tel que chanté à Palazzo Adriano vendredi dernier.
Τὴν ὡραιότητα τῆς Παρθενίας σου, καὶ τὸ ὑπέρλαμπρον τὸ τῆς ἁγνείας σου, ὁ Γαβριὴλ καταπλαγείς, ἐβόα σοι Θεοτόκε· Ποῖόν σοι ἐγκώμιον, προσαγάγω ἐπάξιον, τὶ δὲ ὀνομάσω σε; ἀπορῶ καὶ ἐξίσταμαι. Διὸ ὡς προσετάγην βοῶ σοι· Χαῖρε, ἡ Κεχαριτωμένη.
L’ange Gabriel, stupéfait de ta virginité et de l’éclat de ta pureté, s’écria vers toi : Ô Mère de Dieu, quelle digne louange puis-je t’offrir ? Comment puis-je t’appeler ? Je suis embarrassé et consterné. C’est pourquoi, fidèle à l’ordre que j’ai reçu, je te crie : Salut, pleine de grâce.