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Les fakenews de Clément Beaune

Notre ministricule des Affaires européennes Clément Beaune s’était répandu plusieurs fois, depuis son fier coming out, sur l’atroce homophobie des Polonais, assurant qu’il irait dans ce pays et qu’il leur ferait honte en allant à Kraśnik, la ville symbole des « zones sans LGBT ». (Ville symbole depuis que des militants LGBT ont mis à l’entrée un panneau « Zone sans LGBT » en plusieurs langues et se sont fait photographier devant, comme si c’était un panneau officiel – ce que croyait évidemment Clément Beaune.)

Or voici qu’il faisait, de lundi à aujourd’hui, un voyage officiel en Pologne. On attendait donc son coup d’éclat.

En fait de coup d’éclat, il s’est plaint que les autorités polonaises ne lui permettent pas d’aller à Kraśnik…

« Information » reprise évidemment par tous les médias : la dictature polonaise empêche un ministre français d’aller où il veut, parce qu’il veut dénoncer l’homophobie…

Mais c’est complètement faux. Et le gouvernement polonais ne se laisse pas faire : « Aucune des autorités polonaises n’a interdit ni privé le vice-ministre français de la possibilité de visiter Kraśnik », a réagi son homologue polonais Szymon Szynkowski vel Sęk, ajoutant qu’il allait aborder la question avec l’ambassade française à Varsovie…

Du reste il est faux aussi de prétendre qu’il y a des « zones sans LGBT » en Pologne. Ce qui est vrai, et ce n’est pas la même chose, c’est que de nombreuses municipalités et des districts ont voté des résolutions par lesquelles elles s’engagent à ne pas favoriser l’idéologie LGBT. (Voir l’article de Patrick Edery sur Tysol.)

Commentaires

  • Le lobby homosexuel veut faire tourner tous les problèmes du monde autour de ses choix sexuels égoïstes. Pas de meilleur allié pour la tyrannie de la pensée unique.

  • Autrefois, on avait honte de faire certaines choses en public, comme de se curer le nez, de se moucher dans ses doigts ou de se promener dans Paris à quatre pattes, avec laisse et muselière. Et les parents n'auraient pas eu l'idée de sortir le dimanche après-midi pour montrer ça à leurs enfants : c'était le bon temps.

  • Pour ceux qui ne croient pas Stavrolus sur parole, voici quelques photos de 2015
    https://winpict.com/WP_Paris/2015/07/02/gay-pride-paris-2015-8704/

  • Autrefois, cela se réglait avec le confessionnal et le psychiatre. Tous relèvent de pathologies mentales ou de problèmes spirituels.

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