Le bureau du Honduras du Haut Commissaire des Nations Unies pour les droits de l’homme a publié ce tweet :
L’OACNUDH regrette la réforme constitutionnelle relative à l'interdiction absolue de l'avortement et rappelle qu'elle contrevient aux obligations internationales et aux recommandations spécifiques adressées à l'État du Honduras sur les droits de la femme.
« L’Union européenne au Honduras » (sic !) n’est pas en reste :
L'Union européenne, ainsi que l'Espagne, la France et l'Allemagne, exprime sa préoccupation au sujet de la réforme constitutionnelle sur l'interdiction de l'avortement et rappelle les normes internationales et ses recommandations à l'État du Honduras sur les droits des femmes.
Le bureau onusiarque a également twitté :
L’OACNUDH exprime sa préoccupation quant à la réforme constitutionnelle relative à l'interdiction du mariage égalitaire, qui est contraire au principe d'égalité et de non-discrimination, établissant pour sa modification une majorité qualifiée non autorisée par la Constitution.
(Le Parlement du Honduras a décidé que pour modifier la Constitution sur ces sujets il faudrait désormais une majorité des trois quarts et non plus seulement des deux tiers.)