Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se dit « scandalisé » par l’action de Génération identitaire dans les Pyrénées la semaine dernière et il déclare avoir demandé à ses services de réunir les éléments permettant de dissoudre cette association.
Pauvre ridicule Darmanin. Les militants de Génération identitaire qui avaient participé à la même opération dans les Alpes ont été relaxés le 16 décembre dernier par la cour d’appel de Grenoble.
Génération identitaire n’a rien fait d’illégal non plus dans les Pyrénées. Bien au contraire. Le préfet ayant alerté sur la menace migratoire et terroriste au col du Portillon, les militants se sont rendus à ce col pour surveiller le passage, indiquant qu’ils signaleraient aux forces de l’ordre toute intrusion suspecte sur le territoire français.
Ce qu’ils ont vu, c’est que malgré les propos du préfet il n’y avait aucune force de gendarmerie sur place.
Tel est le seul scandale…
Addendum
Le procureur de Saint-Gaudens a ouvert une enquête préliminaire contre Génération identitaire pour « provocation publique à la haine raciale » à cause d’une « banderole ». Sur cette banderole il y avait le même message que sur celle des Alpes: You will not make Europe home ! No way ! Ce n'est donc qu'une minable et misérable opération de « communication » politico-judiciaire d’un gouvernement qui devrait avoir autre chose à faire. Le jugement a déjà été rendu par la cour d'appel de Grenoble...
Commentaires
"... d’un gouvernement qui devrait avoir autre chose à faire" :
museler les Français, contrôler les médias, interdire les manifestations, emprisonner les écrivains, massacrer les enfants à naître, euthanasier les vieillards, étouffer les adolescents, confiner les bien-portants, empoisonner les gens avec un vaccin pourri, bousiller l'économie, foutre tous les actifs au chômage, multiplier la dette par quatre ou cinq... (Par exemple)
rien de nouveau sous le soleil : il y a quelques années, un 14 juillet, je me suis amusé à faire tous les cols des Pyrénées, de Valcarlos à l'océan; dès le troisième,les Espagnols m'avaient repéré : ils étaient quatre par col, douaniers ou gardes civils; du coté français, il n'y avait personne avant Lapitxuri, puid de nouveau personne avant le dernier col