Les députés espagnols ont adopté hier par 198 voix contre 138 et deux abstentions le projet de loi qui légalise l’euthanasie.
Une loi raffinée de la culture de mort, puisqu’elle distingue le « suicide médicalement assisté » de l’« euthanasie » (dans le premier cas le médecin donne le poison à la personne qui se donne la mort, dans le second cas c’est le médecin qui tue directement).
Le projet doit maintenant passer au Sénat et on nous dit déjà que la loi entrera en vigueur dès le début de 2021.
Parce que la culture de mort n’attend pas, même en temps de pandémie. A moins que ce ne soit pour achever au plus tôt les malades de la covid-19…
Commentaires
Ils ne peuvent pas exécuter les vieillards par décret, en Espagne ? Ou mettre des vachettes bien cornues dans leurs maisons de retraite ? Décider, soudainement, après huit semaines de claustration dans les chambres, sans voir ni conjoint, ni enfants, ni petits-enfants : "Allez, hop, tout le monde dans le jardin ! Le premier qui met une banderille à la bête aura la vie sauve !"
Y pourraient faire des émissions de télé, avec Guido Luxia en présentateur vedette. Au moins, ça aurait de la gueule !
L'Espagne étant gouvernée par les "rouges" qui ont une grande expérience dans les massacres d'innocents ne pouvait pas tarder à rejoindre le club des pays tueurs de malades et vieillards.
Et l'hypocrite France se sert de la loi Claeys-Leonetti ,interprétée comme il ne faut pas, pour assassiner Vincent Lambert, les malades et les pensionnaires des EHPAD déclarés "covidisés" au Rivotril (clonazépam) par intraveineuse. Vu le succès de cet anti-épileptique, il est probable que Véran demande sa vente libre. Anti-épileptique qui vous guérit définitivement de n'importe quelle maladie, y compris l'épilepsie.
Voici ce qu'écrivait la Haute Autorité de Santé "HAS") en 2018:
"« La sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès (SPCMD) permet quant à elle une altération de la conscience qui sera poursuivie jusqu’au décès, souligne la HAS. Encadrée par la loi, elle peut être mise en œuvre à l’initiative des professionnels ou à la demande d’un patient, au cours de situations précises, dans un établissement hospitalier, au domicile ou en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. »
Il y a une vraie accélération dans la marche génocidaire : on euthanasie les vieillards, on bâillonne les gosses.
Quand on étudie la mise en place des kolkhozes en URSS sous Staline, on s'aperçoit que la répression meurtrière (avec goulag, assassinat de masse, etc) ne s'est pas mise en place du jour au lendemain. On a d'abord laissé les opposants s'exprimer, dans les journaux locaux par exemple, ce qui était habile, car cela permettait de les repérer.
Chez nous, on fait la même chose, tout en étouffant progressivement les voix discordantes et en infiltrant les institutions qui résistent encore. Les oligarques génocidaires sont ultra-minoritaires, et sans légitimité aucune, mais les Bolcheviques l'étaient aussi. Avec assez vite, entretenue par une propagande active, une base de soutien populaire sincère ou simulé (20 % de sincères, 30 à 50 % de simulés) contre moins de 30 % de résistants (chiffres au début de la collectivisation stalinienne), on peut arriver en moins de deux ans à la plus atroce dictature totalitaire de tous les temps. Les prémices sont déjà très très moches : les vieillards qu'on tue sans que personne ne dise rien, les bonnes femmes qui envoient, sans moufter, leurs gosses de six ans à l'école avec un masque sur la gueule qui les empêche de respirer...
Craignons le pire pour bientôt, on est sûr de ne pas être déçus... De toute façon, ce sera ça ou la guerre civile.
Si Trump tient bon, la guerre civile à 80 %.
S'il lâche le morceau, le goulag à 100 %.
Satan découvre une tactique ancienne et éprouvée qu'il vient de découvrir
une question : d'où sortent ses pourcentages ?
De l'école primaire au lycée, si les mamans se mobilisaient contre la muselière sur le nez des gamins, on serait sauvés. Etrange pour moi, très planète Mars, que personne ne se dise : "Bon sang, mais c'est bien sûr ! J'avais fait des gosses pour le bon air du Bon Dieu, et moi aussi je suis fait pour ça. Et si la nature nous avait voulus avec une muselière pour échapper aux virus, elle nous l'aurait cousue de naissance..."
Mais non ! 45 ans d'avortement, et la nature n'existe plus ! Au Japon, où l'on avorte depuis 1948, la mode du masque pour personnes grippées est visible dès Crépuscule à Tokyo (1957). Une belle connerie, bien faite pour inspirer les ordures aseptisées de la banque. C'est très propre, une banque, z'avez remarqué ? Semmelweis y avait-il pensé ?
"Satan découvre une tactique ancienne et éprouvée qu'il vient de découvrir"
Vous avez bu, pour écrire des phrases à faire marrer une stagiaire de français en collège ? Ou c'est l'âge ?
Pardon, j'y suis. Ce doit être de votre avatar.
"Au Japon, où l'on avorte depuis 1948, la mode du masque pour personnes grippées est visible dès Crépuscule à Tokyo (1957)."
Crépuscule à Tokyo est le seul film d'Ozu qui aborde, dans l'histoire d'une jeune étudiante abandonnée par son ami, le drame de l'avortement, et l'aborde de manière magistrale. C'est aussi le seul film d'Ozu où des personnages portent à un moment des masques sur la figure. Chez le plus grand peintre de la famille au cinéma, ce n'est sans doute pas une coïncidence.
"portent à un moment un masque sur la figure..."