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Clama in fortitudine

Le premier répons des matines vient d’Isaïe 40,9, un peu modifié. « Deus vester », votre Dieu, devient « Deus noster », notre Dieu, ce qui est logique puisque le chant du prophète devient notre chant, et après ces mots est ajoutée l’expression « quem exspectabimus adveniet », qui donne à la prière toute sa force du temps de l’Avent.

℟. Clama in fortitúdine, qui annúntias pacem in Jerúsalem:
* Dic civitátibus Judæ, et habitatóribus Sion: Ecce Deus noster, quem exspectábimus, advéniet.
. Supra montem excélsum ascénde tu, qui evangelízas Sion, exálta in fortitúdine vocem tuam.
℟. Dic civitátibus Judæ, et habitatóribus Sion: Ecce Deus noster, quem exspectábimus, advéniet.

Crie avec force, toi qui annonces la paix dans Jérusalem ; Dis aux villes de Juda et aux habitants de Sion : Voici notre Dieu que nous attendions, il va venir. Monte sur une haute montagne, toi qui évangélises Sion ; élève avec force ta voix. Dis aux villes…

Commentaires

  • La mélodie ressemble à celle trouvée dans le Liber Responsorialis de 1895 mais avec quelques variantes. Je me demande quel livre de chant ils ont utilisé.
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    Le nom László Dobszay apparaît en notes et en couverture de ce CD. Auteur de ces deux livres :
    - The Bugnini Liturgy and the Reform of the Reform,
    - The Restoration and Organic Development of the Roman Rite.

  • Je pense que la Schola Hungarica n'utilise pas de livres, mais ses propres travaux sur les manuscrits.

    Ce qui est très étrange avec László Dobszay est qu'il est un remarquable critique de la néoliturgie, mais que ses interprétations de plain chant sont extrêmement "modernes", détruisant le rythme, le mouvement, qui est pour moi "naturel". (C'est pourquoi je ne les mets jamais sur mon blog alors qu'on en trouve en quantité sur YouTube.)

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