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Avortement : l’offensive continue

La nouvelle égérie du meurtre de masse des bébés s’appelle Albane Gaillot. Elle a présenté une proposition de loi, signée par plus de 40 députés de 8 des 10 groupes de l’Assemblée, visant à intensifier le massacre. (Les deux groupes qui ne participent pas à cette offensive extrémiste sont Les Républicains et l’UDI.)

Albane Gaillot s’était fait élire avec l’étiquette du parti de Macron. Aujourd’hui elle est membre du groupe « Ecologie, démocratie, solidarité ». Car elle considère qu’il n’y a pas plus écologique ni plus solidaire que de tuer la vie naissante.

Elle rappelle que les « professionnels de santé » (sic) alertent depuis longtemps sur les « obstacles à la pleine effectivité » du « droit à l’IVG », droit fondamental comme chacun sait. Et que le confinement a encore aggravé le problème. Il est donc temps de voter une nouvelle loi qui fasse de la France « l’un des pays les plus progressistes en la matière ».

Au menu, bien entendu l’allongement du délai (à 14 semaines), la suppression de la clause de conscience, le droit de pratiquer des avortements étendu aux centres de planning dit familial et aux sages-femmes (pour qu’elles puissent tuer autant d’enfants qu’elles en mettent au monde, sans doute pour développer une nouvelle forme de parité).

Albane Gaillot espère que le texte pourra être examiné par les députés en automne, lors de la première journée où les textes de son groupe arriveront en discussion.

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