Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sainte Elisabeth du Portugal

Clementíssime Deus, qui beátam Elisabeth regínam, inter céteras egrégias dotes, béllici furóris sedándi prærogatíva decorásti : da nobis, eius intercessióne ; post mortális vitæ, quam supplíciter pétimus, pacem, ad ætérna gáudia perveníre. Per Dóminum nostrum…

Dieu très clément, parmi tant d’autres qualités éminentes, vous avez donné à la bienheureuse reine Élisabeth la vertu d’apaiser les fureurs de la guerre : accordez-nous, par son intercession, qu’après avoir, pendant cette vie mortelle, joui de la paix que nous vous demandons humblement, nous parvenions aux joies éternelles.

La collecte demande la paix. Cette « qualité éminente » de sainte Elisabeth d’apaiser les querelles avait particulièrement frappé Urbain VIII, qui est l’auteur ou du moins l’inspirateur de cette oraison, et qui l’avait aussi souligné dans l’antienne de Magnificat :

Elísabeth, pacis et pátriæ mater, in cælo triúmphans, dona nobis pacem.

Élisabeth, mère de la paix et de la patrie, triomphante dans le ciel, donnez-nous la paix.

Les commentaires sont fermés.