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Le ministre de la Culture

rend hommage à Jean Raspail :

« C’est avec beaucoup d’émotion que nous avons appris le décès de Jean Raspail, grand écrivain, qui fut le porte-parole, l’avocat et le défenseur de notre culture et notre civilisation. »

C’est bien sûr le ministre polonais, Piotr Gliński (qui est aussi vice-Premier ministre, et docteur en sciences humaines, professeur de sociologie, membre de l’Académie des sciences).

Commentaires

  • "Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison", disait un homme justement célèbre.

  • Aussi, s'il y avait mis un peu du sien...
    S'il avait emballé le Pont-Neuf, plongé les symboles chrétiens dans le pipi ou le caca comme tout auteur dramatique contemporain qui se respecte, s'il avait été romancière lesbienne au lieu de toujours nous parler de ses rois et de ses curés sur fond de bannières rances et d'idées nostalgiques...
    Après ça, faut-pas-venir-vous-plaindre, Môssieur Raspail!!!

  • Cela dit, vous m'avez fait peur. J'ai cru que notre ministre de la culture, dont le patronyme est plus douteux que celui de la famille Traoré, avait pété la durite de son valseur à double échappement.

  • Sacré Stavrolus... J'avais lu ici-même que vous étiez aumônier militaire. Quelle truculence rabelaisienne, ne changez rien!!!

  • Je prends tout, cher Pollux : j'étais en train de rédiger mon message quand le vôtre est arrivé. Vous avez raison à 100 % : Raspail est coupable de n'être pas entré dans l'île de Pinocchio, dans le "manège enchanté". Il avait aussi ce côté terroir, un peu âpre et rugueux, qui rendait difficile de le confondre avec Françoise Sagan.

  • Quoique, à côté d'une Virginie Despentes, François Sagan c'est madame Leprince de Beaumont ...
    Quelle époque...

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