Réaction du Premier ministre tchèque, Andrej Babiš, à l’arrêt de la Cour de Justice de l’UE :
« Nous avons perdu ce procès, mais ce n’est pas important. Ce qui est important, c’est que nous n’avons rien à payer. La Commission demande seulement de rembourser une partie des frais de justice. Nous n’accepterons aucun migrant et les quotas ont expiré entre-temps. C’est surtout grâce à nous. »
En effet c’est grâce à la « désobéissance » (ou plutôt à la résistance) des pays du V4 que les quotas n’ont pas été reconduits, par crainte que cette désobéissance s’étende…